Les larmes rouges – Déliquescence – tome 2 – Georgia Caldera

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Editions J’ai lu

763 pages

 

Quatrième de couverture

Le voile a été levé sur les étranges rêves de Cornélia, mais elle est plus que jamais en danger. Pourtant, la seule prudence n’est pas ce qui la pousse à rester auprès d’Henri. Progressivement, leurs liens se renforcent, bien que l’ombre du passé plane sur leur relation…
Pire encore, pour assurer leur protection contre Avoriel, ils doivent retourner à Reddening House, où Cornélia a été témoin des horreurs que peuvent commettre ses habitants. Déjà angoissée, la jeune femme se noie de plus en plus dans de bien surprenantes visions…

Mon avis

Grand coup de cœur pour ce tome 2, pourtant ce n’était pas gagné ! Arrivée au trois quarts du livre environ j’ai abandonné ma lecture, trop de sang, de choses horribles et surtout oui surtout Cornélia qui me tapait sur les nerfs.
Mais mes copinautes lectrices mon beaucoup influencées pour reprendre cette lecture et après un certain temps j’avais envie de retrouver Henri et Cornélia et surtout la plume de Georgia Caldera.
Cette petite pose a été très bénéfique vu que j’ai dévoré le reste du livre et que j’ai commandé le tome 3 que je ne vais pas tarder à lire.

Bref une excellente lecture pour moi qui ne suis pas une adepte des lectures vampiriques. Si vous ne connaissez pas cet auteur je vous incite vivement à la découvrir rapidement !

Meurtres pour rédemption – Karine Giebel

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Editions Pocket

988 pages

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Quatrième de couverture

Marianne, vingt ans. Les miradors comme unique perspective, les barreaux pour seul horizon. Perpétuité pour cette meurtrière. Une vie entière à écouter les grilles s’ouvrir puis se refermer. Indomptable, incapable de maîtriser la violence qui est en elle, Marianne refuse de se soumettre, de se laisser briser par l’univers carcéral sans pitié où elle affronte la haine, les coups, les humiliations. Aucun espoir de fuir cet enfer. Ou seulement dans ses rêves les plus fous. Elle qui s’évade parfois, grâce à la drogue, aux livres, au bruit des trains. Grâce à l’amitié et à la passion qui l’atteignent en plein coeur de l’enfermement. Pourtant, un jour, l’inimaginable se produit. Une porte s’ouvre. On lui propose une libération… conditionnelle.  » La liberté Marianne, tu dois en rêver chaque jour, chaque minute, non ?  » Oui. Mais le prix à payer est terrifiant. Pour elle qui n’aspire qu’à la rédemption…

Mon avis

Alors là, coupe de cœur, énorme coup de cœur, immense coup de cœur. Ce livre est addictif à un point terrifiant. L’histoire est noire, sombre, tragique.
Les personnages sont attachants pour certains et haïssable pour d’autre, terriblement haïssable !
Marianne est le personnage principale du livre et malgré ce qu’elle a fait il est impossible de ne pas s’attacher à elle. J’ai pleuré durant ma lecture, ce qui ne m’arrive pas souvent, c’est assez rare un livre qui vous fait pleurer…
Forcément je n’ai pas pu lire les 988 pages d’affilée, il a bien fallu que je le pose et là, là ce fût à chaque fois un déchirement de laisser Marianne. Je pensais à elle quasiment sans arrêt, une vraie torture mentale ce bouquin.
Et même à un certain stade de l’histoire pendant une très petite fraction de seconde je m’attendais à ce qu’on parle d’elle dans les titres des journaux télévisés, c’est dire comme ce livre vous imprègne !!

De plus avec ce livre on ne peut que se poser des questions sur le milieu carcéral.

Meurtres de rédemption est mon troisième roman de Karine Giebel et pas le dernier, cette femme est un génie !

C’est quand même énorme le pouvoir de ce livre parce que là en écrivant ma chronique les larmes me viennent….

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Le marin rejeté par la mer – Yukio Mishima

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Editions Folio

182 pages

Quatrième de couverture

Noboru, garçon de treize ans, surprend les amours de sa mère, une jeune veuve, avec un officier de la marine marchande, Ryüji. Noboru fait partie d’une bande de garçons qui se veulent durs. Ils prennent d’abord le marin pour un héros. Quand ils découvrent qu’il n’est qu’un brave homme, affectueux et honnête, ils décident d’en finir avec lui et commencent à procéder sur un chat à l’horrible sacrifice qu’ils ont décidé d’accomplir…

Mon mini-avis

J’ai acheté ce livre parce que Amélie Nothomb l’avait conseillé durant une émission littéraire et comme je suis très influençable par Amélie j’ai voulu le lire.
Lecture moyenne mais pas désagréable du tout, agréable à lire niveau style après l’histoire ne restera pas dans ma mémoire pendant longtemps.

Hitler mon voisin – Edgar Feuchtwanger

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Editions Michel Lafon

295 pages

Quatrième de couverture

Âgé de 5 ans, Edgar Feuchtwanger, fils unique d’un éditeur juif, a une enfance heureuse dans la ville de Munich. C’est un petit Allemand insouciant, choyé par ses parents et sa nounou, lorsque Adolf Hitler, chef du Parti national socialiste, s’installe dans l’immeuble d’en face. En 1933 se brise le bonheur de cette vie sans nuage. Hitler est nommé chancelier. Les parents d’Edgar, déchus de leurs droits de citoyens ordinaires, tentent de le protéger des humiliations. À l’école, sa maîtresse lui fait dessiner des croix gammées, ses camarades rejoignent les jeunesses hitlériennes. Depuis sa fenêtre, en regardant de l’autre côté de la rue, Edgar va assister à la préparation de la Nuit des longs couteaux, de l’Anschluss et de la Nuit de Cristal. Les Juifs sont arrêtés, son père est enfermé à Dachau où il connaîtra la peur, le froid et la faim. En 1939, Edgar est envoyé seul en Grande-Bretagne. Il y fera sa vie, sa carrière, fondera une famille et s’efforcera d’oublier le cauchemar de son passé. Un passé qui a soudain rejailli lorsqu’il a voulu, à 88 ans, raconter cette enfance enfouie.

Mon mini-avis

Lecture très intéressante, livre bien écrit, à lire.

Bison – Patrick Grainville

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Editions Points

298 pages

Merci à clip_image002  et aux éditions logo-point-createur-fdnoir-e1386848123480

 

Quatrième de couverture

Philadelphie, 1828. Promis à une belle carrière d’avocat et de peintre mondain, George Catlin croise la route d’une délégation d’Indiens. Ebloui par la superbe des cavaliers, le peintre quitte sa vie de citadin huppé, sa femme et son confort, pour enfourcher son cheval et parcourir les plaines du Mississippi à la rencontre de tribus. Cherchant à intégrer leurs coutumes, il saisit sur le vif la beauté naturelle de leur quotidien.

Mon avis

J’attendais beaucoup de ce roman historique, peut-être trop. Cela faisait un certain temps que j’avais envie de lire un roman sur les indiens et sur leur génocide alors forcément j’avais hâte de le commencer.
Peut-être est-ce le côté « historique » plus présent que le côté « roman » dans Bison qui m’a rebuté. J’ai eu du mal à m’intégrer dans le peuple Sioux et pourtant comme je l’aurais voulu ! Il m’a manqué du rythme. Je trouve que l’auteur c’est trop attardé sur des petits détails et des descriptions.
Je n’ai pas réussi à m’attacher à un personnage en particulier. Les seuls passages que j’ai appréciés sont celui où Georges Catlin peint le chef Sioux et celui de la fuite des deux amoureux dont je ne citerais pas les noms pour un minimum de surprise pour les futurs lecteurs et lectrices de ce roman.
Mon avis n’est pas non plus que négatif, j’ai quand même appris pas mal de choses sur les us et coutumes des indiens Sioux ce qui est déjà un bon point pour un roman historique.
Alors même si je n’ai pas totalement adhéré à cette lecture je le conseillerais quand même mais vraiment aux amateurs de romans historiques avec des détails.
Concernant l’auteur je l’ai découvert avec Bison et je ne compte probablement pas lire un autre roman de lui.

Place Colette – Nathalie Rheims

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Editions Léo Scheer

310 pages

Merci à Gilles Paris SARL et 578041_10151508056119923_1478472448_n

 

Quatrième de couverture

À l’âge de 9 ans, la narratrice de Place Colette est victime d’une erreur de diagnostic qui la cloue sur un lit d’hôpital, le corps prisonnier d’une coquille de plâtre. Au terme de trois années de calvaire, un professeur finit par découvrir la véritable maladie ; il l’opère et la sauve. La jeune fille a passé ce temps immobile à découvrir la littérature et les textes classiques. Elle voue une passion sans limite au théâtre. Revenue à la vie, elle tourne autour de la Comédie-Française et de la place Colette. Le jour de ses 13 ans, elle entre dans la loge d’un comédien dont elle est tombée amoureuse. Bien qu’il ait trente ans de plus qu’elle, elle lui propose de devenir son cadeau d’anniversaire.
Ce roman, qui aurait pu s’intituler Détournement de majeur, est l’histoire d’une double initiation, à l’amour charnel et à la passion du théâtre. Écrit à la première personne, il est pourtant aux antipodes de ce que l’on qualifie d’autofiction : le mensonge enveloppé dans une rhétorique de vérité. C’est un « roman-vrai », où l’auteur se cherche et finit par faire tomber le masque.

Mon avis

J’apprécie les romans de Nathalie Rheims, je n’ai jamais été déçue jusqu’à maintenant. Mais voilà avec Place Colette je dois bien avouer que je n’ai pas totalement apprécié ma lecture.
Ce n’est pas le talent d’écriture de l’auteur que je remets en cause. J’ai apprécié le rythme du livre même si parfois j’ai ressentie quelques lenteurs et j’ai apprécié également le style.
Là où j’ai eu du mal c’est avec l’histoire en elle-même. Je ne m’attendais pas du tout à ce que j’ai lu de la part de l’auteur qui a l’habitude de ne jamais mettre de sexe dans ses romans, ce n’est pas le sexe en lui-même qui m’a choqué ou déplu mais l’âge des protagonistes.
Elle, la narratrice 13 ans et lui, comédien de la Comédie-Française 43 ans.
Cela peut paraître idiot pour certains mais étant maman et même si ma fille n’a plus 13 ans certaines scènes (que je ne vais pas décrire cela va de soi!) me sont insupportables, c’est juste pas possible à imaginer !
Insupportable comme l’avait été ma lecture de Lolita de Nabokov.
Donc voilà si je fais abstraction du fait que certaines choses ne passent pas chez moi, Place Colette est un bon roman et en particulier pour ceux et celles qui apprécie le théâtre. Il montre une autre facette de l’écrivain.

 

 

Chroniques…

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Vous l’aurez remarqué c’est l’été et donc je n’ai pas envie de faire de longues chroniques

(en fait ça fait un moment que mes chroniques ont déjà raccourci)

Bref à part les 3 livres suivants qui sont des partenariats

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mes autres lectures auront certainement des chroniques réduites au minimum,

je n’ai pas du tout envie d’y passer du temps ! voiloù !!!clochette-et-soleil-sur-la-mer

 

Praërie – le secret des Haoms tome 2 – Jean-Luc Marcastel

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éditions Scrinéo

472 pages

 

 

Un grand merci à clip_image002pour leur confiance et aux éditions

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Quatrième de couverture

Le lieutenant Vincent Marty réussira-t-il à quitter le monde impitoyable de Praërie ? Là, parmi ces descendants d’humains miniaturisés par erreur voici plus de vingt ans, il a trouvé des alliés en la personne de Lo’Hiss, redoutable chasseur, d’une étrange fille-guêpe et de Séfan, une jeune sink aussi surprenante qu’attachante. Avec leur aide, il est parti à la recherche du laboratoire où se trouve le protocole qui lui permettra de retrouver sa taille d’origine.
Mais la Vertjungle est féroce et sans pitié pour qui ne connaît pas ses secrets… car le moindre ruisseau y devient un fleuve infranchissable hanté par des créatures redoutables, les insectes ! Pourtant, ici comme ailleurs, le plus terrible des prédateurs n’est pas toujours celui que l’on croit… Praërie – Les vrais monstres sont sous nos pieds…

 

Mon avis

Après avoir passé un excellent moment avec le tome 1 de Praërie j’attendais avec impatience le tome 2, dernier tome en l’occurrence.
Je n’ai pas hésité une seule seconde lorsqu’il a été proposé en partenariat sur Livraddict. Aussitôt reçu aussitôt lu, j’ai quand même pris le temps de le lire tranquillement pour rester le plus longtemps possible avec les protagonistes de Praërie mais aussi pour me régaler de l’histoire et de l’écriture de l’auteur.
Le seul petit bémol que j’aurais pour ce tome 2 et le fait que l’auteur met parfois nos nerfs à rude épreuve il faut bien le dire !! Petit bémol qui n’en est pas vraiment un vous l’aurez compris parce que cette lecture a été un régal.
Je me demande quand même s’il est bien judicieux de lire une telle lecture en plein été où il y a des insectes partout notamment dans son jardin !
Le monde cruel et inhumain des insectes est tout simplement effrayant !
Pourtant dans Forroc la cité des Sinks certains sont tout autant cruels et inhumains et cela non pas par instinct comme les insectes mais en pleine connaissance de cause pour garder le pouvoir.
Je ne veux pas trop parler des personnages de peur de dévoiler des « faits », mais de belles choses vous attendent dans ce second tome.
J’ai tout aimé dans ce diptyque, le début, la fin, le contexte, le côté fantastique, l’évolution des personnages, les descriptions et tout l’univers qu’a créé l’auteur dans Praërie.

A lire absolument parce que c’est juste génial !!

Des vies d’oiseaux – Véronique Ovaldé

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Editions France Loisirs

225 pages

 

Quatrième de couverture

Paloma est partie…Dans sa somptueuse villa, sa mère cherche à comprendre ce qui l’a fait fuir : s’est-elle éclipsée pour suivre un homme ou a-t-elle délibérément choisi de s’éloigner d’elle ?

Les vies d’oiseaux, ce sont celles des personnages de ce livre. Au gré de leurs chassés-croisés, ils goûtent à l’amour et à l’ivresse de la liberté. Mais les deux sont-ils vraiment compatibles ?

Mon d’avis :

Pas la peine d’en écrire des tonnes, juste que j’ai énormément aimé cette lecture comme tous les romans de cet auteur un régal !

N’hésitez pas à vous plonger dans les écrits de Véronique Ovaldé vous ne serez pas déçus !