Editions France Loisirs

689 pages

Quatrième de couverture

Zoé est L’Élue, l’héritière d’une lignée de femmes chargées de protéger un secret ancestral. Elle ne le découvre que lorsque des tueurs surgissent et l’entraînent dans une course folle qui la mènera aux confins de la Sibérie. Pour Zoé, le temps presse : elle doit non seulement rester en vie, mais aussi comprendre ce qu’est le Secret pour parvenir à le préserver. Dans sa quête, parsemée d’énigmes et de symboles à décrypter, elle est aidée par un agent spécial. Mais est-il vraiment son allié ?

Mon avis

Lecture très moyenne. Je m’attendais à autre chose, que l’histoire soit moins ancrée dans la réalité et dans l’histoire avec un grand H . Là aussi, encore une fois je me suis ennuyée !!!!

Editions Gallimard

448 pages

Quatrième de couverture

Dans un village proche de la ville côtière de Putian, en Chine méridionale, au début du vingtième siècle, Yong Sheng est le fils d’un menuisier-charpentier qui fabrique des sifflets pour colombes réputés. Les habitants raffolent de ces sifflets qui, accrochés aux rémiges des oiseaux, font entendre de merveilleuses symphonies en tournant au-dessus des maisons. Placé en pension chez un pasteur américain, le jeune Yong Sheng va suivre l’enseignement de sa fille Mary, institutrice de l’école chrétienne. C’est elle qui fait naître la vocation du garçon : Yong Sheng, tout en fabriquant des sifflets comme son père, décide de devenir le premier pasteur chinois de la ville. Marié de force pour obéir à de vieilles superstitions, Yong Sheng fera des études de théologie à Nankin et, après bien des péripéties, le jeune pasteur reviendra à Putian pour une brève période de bonheur. Mais tout bascule en 1949 avec l’avènement de la République populaire, début pour lui comme pour tant d’autres Chinois d’une ère de tourments qui culmineront lors de la Révolution culturelle.

Dai Sijie, dans ce nouveau roman, renoue avec la veine autobiographique de son premier livre, Balzac et la petite tailleuse chinoise. Avec son exceptionnel talent de conteur, il retrace l’histoire surprenante de son propre grand-père, l’un des premiers pasteurs chrétiens en Chine.

Mon avis

Mon avis tient en un mot « ENNUYEUX », je n’ai pas aimé cette lecture. Hormis le fait qu’au niveau historique ce livre est plutôt intéressant pour le restant c’est vraiment un sentiment d’ennui qui ressort de cette lecture

Au bonheur des dames – Emile Zola

Editions Le livre de poche

513 pages

Quatrième de couverture

Octave Mouret affole les femmes de désir. Son grand magasin parisien, Au Bonheur des Dames, est un paradis pour les sens. Les tissus s’amoncellent, éblouissants, délicats, de faille ou de soie. Tout ce qu’une femme peut acheter en 1883, Octave Mouret le vend, avec des techniques révolutionnaires. Le succès est immense. Mais ce bazar est une catastrophe pour le quartier, les petits commerces meurent, les spéculations immobilières se multiplient. Et le personnel connaît une vie d’enfer. Denise échoue de Valognes dans cette fournaise, démunie mais tenace. Zola fait de la jeune fille et de son puissant patron amoureux d’elle le symbole du modernisme et des crises qu’il suscite. Personne ne pourra plus entrer dans un grand magasin sans ressentir ce que Zola raconte avec génie : les fourmillements de la vie.

Mon avis

Dans la « saga » Les Rougon Macquart j’ai déjà lu Nana que j’avais beaucoup aimé, là Le bonheur des dames j’ai moyennement aimé, je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, les très longues descriptions du magasin et de ses différents rayons m’ont vite ennuyées. Les protagonistes féminins papotant chiffons et mode m’ont vite agacées.

Le côté historique est très intéressant, l’évolution du commerce qui au final est toujours d’actualité. La condition des employés, des femmes, l’évolution aussi de certains quartiers. Ce n’est pas spécialement une très bonne lecture mais une lecture que je qualifierai plutôt d’instructive.

Crénom Baudelaire – Jean Teulet

Editions Mialet Barrault

427 pages

Quatrième de couverture

Si l’oeuvre éblouit, l’homme était détestable. Charles Baudelaire ne respectait rien, ne supportait aucune obligation envers qui que ce soit, déversait sur tous ceux qui l’approchaient les pires insanités. Drogué jusqu’à la moelle, dandy halluciné, il n’eut jamais d’autre ambition que de saisir cette beauté qui lui ravageait la tête et de la transmettre grâce à la poésie. Dans ses vers qu’il travaillait sans relâche, il a voulu réunir dans une même musique l’ignoble et le sublime. Il a écrit cent poèmes qu’il a jetés à la face de l’humanité. Cent fleurs du mal qui ont changé le destin de la poésie française.

Mon avis

J’ai déjà lu plusieurs roman de Jean Teulet et j’aime le style et l’écriture de cet auteur, mais là dans Crénom Baudelaire c’est juste insupportable ! Baudelaire était apparemment un être abjecte et infecte qui passait son temps dans les gargotes, les Bas-Fonds de Paris, les bouges en tout genre ! C’est noir, c’est glauque, des maladies, la drogue, l’alcoolisme et j’en oublie très certainement. Pour que j’apprécie cette lecture il m’aurait fallu un style plus sobre parce que là nous sommes sur la surenchère et pour moi ça ne passe pas, le combo biographie et style de Jean Teulet ne fonctionne pas du tout ici, du moins pour moi.

La Faucheuse t1 – Neal Shusterman

Editions Robert Laffont (R)

493 pages

Quatrième de couverture

Les commandements du Faucheur :
Tu tueras.
Tu tueras sans aucun parti pris, sans sectarisme et sans préméditation.
Tu accorderas une année d’immunité à la famille de ceux qui ont accepté ta venue.
Tu tueras la famille de ceux qui t’ont résisté.

Mon avis

Cette trilogie me tente depuis pas mal de temps et les trois tomes étant disponibles à la médiathèque je les ai pris. J’ai commencé la lecture de ce premier tome pas trop convaincu, la mort étant une état par lequel il faudra passer un jour, une chose horrifiante. Bref le début de se livre a été assez laborieux moralement pour moi, il m’a fallu un peu de temps pour bien rentrer dans l’histoire. Certaines choses sont un peu prévisibles mais pas trop quand même donc pas de déception. Certains personnages sont attachants, d’autres très attachants. Il n’y a pas vraiment de protagonistes détestables.

Je n’ai pas réussi à voir Maître Goddard en monstre dépourvu d’humanité, sa façon d’être et de parler me faisait penser à Hadès, le Hadès du dessin animé Hercule !!!! Donc là l’effet certainement escompté par l’auteur n’a pas été efficace pour moi. Je vois plus Goddard en un méchant rigolo et complètement déjanté !!! Je n’ai pas réussi à le voir en gros psychopathe, un décalage entre les actes et la façon de faire du personnage, c’est dommage !

J’ai beaucoup aimé la fin de ce premier tome et j’ai hâte de lire la suite .

Des noeuds d’acier – Sandrine Collette

Editions Denoël

272 pages

Quatrième de couverture

ATTENTION SPOILER

Avril 2001. Dans la cave d’une ferme miteuse, un homme est enchaîné. Théo, quarante ans, a été capturé par deux vieillards qui veulent faire de lui leur esclave. Théo n’a pourtant rien d’une proie facile : athlétique et brutal, il sortait de prison quand ces deux vieux fous l’ont piégé au fond des bois. Les ennuis, il en a vu d’autres. Alors, il refuse de croire à ce cauchemar. Il a résisté à la prison, il se jure d’échapper à ses geôliers.

Mon avis

En tout premier lieu je dois dire que je suis ravie de ne pas avoir lu la quatrième de couverture parce que là niveau spoiler c’est se moquer du lecteur, du moins pour moi !!! De mémoire le résumé raconte ce qui se passe à environ la cinquantième page…

Je ne vais pas rentrer dans les détails pour ne pas dévoiler quoi que ce soit ! Cette lecture a été une excellente lecture, il s’agit du premier roman de l’autrice et quelle maîtrise !!! Pour moi il s’agit du deuxième roman de cette autrice, le premier étant « Juste après la vague ».

Des noeuds d’acier est une lecture très angoissante, un huit clos horrible et captivant. Le style et les mots de l’autrice sont terriblement efficaces, le livre se lit très vite car très addictif.