Parce qu’ils sont là – Laurent Esnault

Editions Sixième(s) 351 pages

https://ed-amphora.fr/nos-univers/sixiemes/

Quatrième de couverture

Comment élève-t-on ses deux enfants quand on est père célibataire ? Surtout quand le plus jeune dit que sa maman lui a souhaité un bon anniversaire. C’est impossible : elle a perdu la vie en lui donnant naissance.

Au-delà du sujet sensible du deuil, l’auteur nous parle avec finesse de la vie et d’amour inconditionnel.

Mon avis

Je remercie les éditions Sixième(s) de m’avoir permis de lire se livre via un service presse. Une belle découverte et une belle lecture. Un sujet dramatique dont le début du livre est très poignant, bouleversant et horrible humainement parlant !

Les personnages sont assez attachants mais il est vrai que j’ai eu un peu de mal avec la thématique du livre. Pour pouvoir l’apprécier je l’ai plus vu comme un roman fantastique. Il est certain que la perception du livre dépendra des idées et convictions du lecteur ou de la lectrice.

Un livre bien écrit et agréable à lire, Ce n’est pas un coup de cœur mais comme je l’ai déjà dit une très bonne lecture qui. Si l’auteur publie d’autres romans il est fort probable que je les lise.

Vous faites quoi pour Noël ? Carène Ponte

Editions POCKET – 247 pages

Quatrième de couverture

Plongez Pauline dans une fête de Noël très arrosée au bureau. Pimentez d’un dérapage torride dans le parking de son immeuble avec l’assistant du DRH. Ajoutez un enregistrement de vidéosurveillance. Et vous comprendrez que Pauline peut dire adieu à ses vacances pépères, genre siestes en pyjama licorne et comédies romantiques à gogo. L’urgence : se rapprocher de celui qui détient la vidéo si compromettante pour sa réputation, le séduisant gardien de son immeuble ! Celui-ci lui propose un marché. En tout bien tout honneur….

Mon avis

j’ai découvert cette autrice avec ce livre, j’en entends parler en bien depuis longtemps. J’ai acheté Vous faites quoi pour Noël ? à la foire du livre de Brive en novembre dernier, une très belle rencontre d’ailleurs. Ce livre a été une belle lecture, je me suis régalée. J’ai aimé le style et l’écriture de l’autrice. J’ai adoré l’humour qu’elle a mis dans ce livre, tout comme l’ambiance, les personnages et les décors. Je me réjouis par avance de me dire qu’il y a un tome 2.

Les rois maudits T1 – Maurice Druon

Editions Le livre de poche – 316 pages

Quatrième de couverture

Les Rois maudits, célèbre fresque historique en sept volumes :
1. Le Roi de fer. 2. La Reine étranglée. 3. Les Poisons de la Couronne. 4. La Loi des mâles. 5. La Louve de France. 6. Le Lis et le Lion. 7. Quand un roi perd la France, font revivre le xive siècle, entre le procès des templiers et les débuts de la guerre de Cent  Ans. Traduits dans le monde entier, Les Rois maudits ont remporté un succès exceptionnel et sont considérés comme un des modèles contemporains du roman historique.

Le Roi de fer, premier volume du cycle, a pour figure centrale Philippe IV le Bel, roi d’une beauté légendaire qui régnait sur la France en maître absolu. Tout devait s’incliner, plier ou rompre devant l’autorité royale. Mais l’idée nationale logeait dans la tête de ce prince calme et cruel pour qui la raison d’Etat dominait toutes les autres.
Sous son règne, la France était grande et les Français malheureux.

Mon avis :

Je me suis enfin lancée dans cette saga, contrairement à ce que je pensais c’est agréable et facile à lire. J’ai beaucoup aimé l’écriture et le style de l’auteur, c’est passionnant à lire et d’autant plus lorsqu’on aime l’histoire

No home – Yaa Gyasi

éditions Calmann- Lévy – 409 pages

Quatrième de couverture

Maama, esclave Ashanti, s’enfuit de la maison de ses maîtres Fantis durant un incendie, laissant derrière elle son bébé, Effia. Plus tard, elle épouse un Ashanti, et donne naissance à une autre fille, Esi. Ainsi commence l’histoire de ces deux demi-sœurs, Effia et Esi, nées dans deux villages du Ghana à l’époque du commerce triangulaire au XVIIIe siècle. Effia épouse un Anglais et mène une existence confortable dans le fort de Cape Coast, sans savoir que Esi, qu’elle n’a jamais connue, est emprisonnée dans les cachots du fort, vendue avec des centaines d’autres victimes d’un commerce d’esclaves florissant avant d’être expédiée en Amérique où ses enfants et petits-enfants seront eux aussi esclaves. Grâce à un collier transmis de génération en génération, l’histoire se tisse d’un chapitre à l’autre : un fil suit les descendants d’Effia au Ghana à travers les siècles, l’autre suit Esi et ses enfants en Amérique.

Mon avis

Un sujet très intéressant mais je n’ai pas trop aimé la manière dont il a été traité, du moins dans le style et la forme. Le gros point faible de ce livre est le fait que je n’avais pas le temps de s’attacher aux personnages car. Quasiment un seul chapitre par personnage et sur trois générations le tout sur 409 pages forcément on survole l’histoire des protagonistes .

C’est dommage j’aurai aimé suivre beaucoup plus longtemps Esi et Effia, ce livre aurait mérité trois tomes, un par génération. Donc ce livre est très bien en ce qui concerne la grande Histoire mais seulement, du moins pour moi.

Un roman anglais – Stéphanie Hochet

éditions Rivages – 170 pages

Quatrième de couverture

1917, quelque part dans la campagne anglaise. Anna Whig, bourgeoise lettrée, mère d’un petit garçon de deux ans, Jack, persuade son mari Edward d’embaucher par courrier pour sa garde d’enfant une certaine George (comme George Eliot, pense-t-elle). Le jour où elle va chercher George à la gare, elle découvre qu’il s’agit d’un homme. Celui-ci va faire preuve d’un réel instinct maternel à l’égard de l’enfant, et finira pas susciter la jalousie d’Edward, qui pressent l’amour naissant entre George et Anna. Dans ce roman à la fois pudique et tourmenté, Stéphanie Hochet traite avec beaucoup de finesse le thème de l’ambiguïté sexuelle, avec son lot de non-dits et de paradoxes, dans ce cadre post-victorien qui rappelle tant Virginia Woolf, tout en restituant le climat d’inquiets atermoiements qui régnait en Angleterre lors de cette période troublée.

Mon avis

Une bonne lecture avec une ambiance victorienne que j’affectionne. Ceci dit j’ai trouvé que le sujet de l’ambiguïté sexuelle était traité (comme dis dans la quatrième de couverture) trop en finesse, ou plutôt trop superficiellement. J’ai trouvé aussi que l’enfant prenait trop de place dans la narration, trop mis en avant, beaucoup trop à mon goût, les passages le concernant m’ont ennuyé quelque peu. Une histoire assez noire, facile à lire et bien écrite.

Somb – Max Monnehay

éditions du Seuil – 304 pages

Quatrième de couverture

Victor Caranne est psychologue en milieu carcéral. Chaque jour il emprunte à moto le long pont qui relie le continent à l’île de Ré pour rejoindre la Citadelle, fortification reconvertie en prison. Chaque jour il écoute des détenus lui confier leurs fantasmes les plus abjects, leurs crimes les plus atroces. Ils n’ont rien à craindre: les menottes de Caranne se nomment secret professionnel. La découverte d’un corps, sur la grève d’une plage proche de sa villa, va soudain bouleverser sa vie. C’est, pour lui, une perte immense. Caranne va devoir replonger dans un passé qu’il faisait tout pour oublier. Et les certitudes qu’il avait sur sa vie vont, une à une, s’effondrer.

Mon avis

Je suis partagée entre « c’est une très bonne lecture » et « mouais je m’attendais à autre chose » mais justement je ne sais pas à quoi je m’attendais. De cette autrice j’avais lu et énormément aimé Corpus Christine et Géographie de la bêtise, deux romans plutôt originaux et sortant des sentiers battus. Et justement voilà le hic, avec Somb nous sommes dans un polar « normal/basique » et je préfère les thrillers qui tiennent en haleine du début à la fin, certes le final rattrape un peu la « banalité » du reste du livre mais je trouve que ça arrive tard et pour moi il manque quelque chose. Les descriptions physique de certains personnages sont assez choquantes je trouve, sur la calvitie, le poids, en fait ce sont des descriptions dites par Victor Caranne, personnage principal que l’on retrouve sans un second polar et dans un troisième pas encore paru. Et clairement je n’apprécie pas trop ce personnage, je le trouve parfois agaçant, un peu imbu de sa personne et pas de charisme.

Je suis vraiment très partagée sur mon ressenti, j’ai quand même passé un bon moment de lecture, j’ai aimé l’écriture de l’autrice, je lirais « la suite » si je trouve le livre en médiathèque où dans une boite à livres .

La chronique des Bridgerton T2 – Julia Quinn

éditions FranceLoisirs – 375 pages

Quatrième de couverture

Les Bridgerton sont stupéfaits : le vicomte Anthony veut se marier !

Et il sait ce qu’il veut : une femme dont il ne risque pas de tomber amoureux, car l’amour est secondaire dans le couple.

Edwina Sheffield est la reine de la saison, c’est donc elle qu’il épousera.

Sauf que la sœur de la demoiselle, Kate, oppose son veto : un débauché comme Anthony n’est pas un parti convenable pour Edwina. Ce dernier est offensé. Lui, le célibataire le plus convoité de Londres, indésirable ?

Il compte bien prouver à Kate qu’il est irrésistible !

Mon avis

Une très bonne lecture, je connaissais l’histoire car j’ai d’abord regardé la saison 2 sur Netflix et j’aime beaucoup. Comme la série est très différente (c’est le moins que l’on puisse dire!) hormis le fait que la fin est la même j’ai eu l’impression de lire (presque) une histoire différente et du coup je n’ai pas eu le reflex « comparaison » lors de ma lecture. Il va sans dire que j’ai eu du mal à imaginer Edwina en blonde aux yeux bleus, elle et Miss Sharma sont pour moi celles que j’ai vu dans la série.

Donc maintenant j’aurais voulu acheter le tome 3 mais voilà, FranceLoisirs ne vend plus cette édition et j’aurais voulu continuer dans la même collection. D’un côté vu que je ne veux plus faire partie de Franceloisirs n’ayant plus de boutique dans ma ville ça tome bien finalement.

Changer l’eau des fleurs – Valérie Perrin

éditions Le livre de poche – 672 pages

Quatrième de couverture

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se confier et se réchauffer dans sa loge. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle forme une famille décalée. Mais quels événements ont mené Violette dans cet univers où le tragique et le cocasse s’entremêlent ?

Mon avis

Une bonne lecture mais sans plus. J’ai trouvé ce livre assez déprimant, destins et vie brisés, protagonistes qui passent à côté de leur vie, quelques longueurs notamment en ce qui concerne Irène et Gabriel. Le tout sur 672 pages ce fût trop pour moi et j’avais hâte de le finir.

Lux t1 – Obsidienne – Jennifer L. Armentrout

éditions J’ai Lu – 378 pages

Quatrième de couverture

Quand Katy déménage dans un coin paumé de Virginie-Occidentale, elle s’attend à tout sauf à rencontrer des voisins de son âge. Déception, Daemon Black a beau être canon et avoir une soeur jumelle adorable, il n’en est pas moins insupportable et arrogant ! Lorsque Kat se rend compte que tout le monde semble fuir la famille Black, elle voit d’un autre oeil la froide suffisance de Daemon. Pourra-t-elle encore l’éviter quand tout lui crie de s’en approcher ?

Mon avis

Ce tome 1 a été une très bonne lecture, je découvre cette autrice avec cette saga. Je pense lire la suite rapidement car j’ai les tomes 2, 3 et 4 dans ma Pal.

L’histoire est je trouve un peu longue à démarrer mais bon ça a été vite oublié. J’espère en savoir plus dans le tome 2, même si pas mal de choses sont dévoilées dans ce premier opus, je suis cependant très curieuse d’en apprendre plus.

Le petit bémol (mais vraiment petit) est un niveau de Kat concernant Daemon, les « je l’aime, non je l’aime pas, oui je l’aime, non , oui etc etc » ça devient vite lassant !!!!

Valdaeryn – Tome 1 – Mélanie Pelet et Marina Fliquet

livre auto-édité – 220 pages

Quatrième de couverture

Un matin, le vent s’est levé sur le monde fabuleux de Valdaeryn. Il est venu annoncer à la Reine Leevinidia la fin prochaine de son règne.

Soucieuse de conserver son trône et son emprise gelée sur son royaume, la cruelle magicienne confie au Prince Albeyron la tâche d’éliminer cette menace et de lui apporter un collier enchanté. Le voyage que s’apprête à faire l’elfe se transformera en une quête plus sombre qu’il ne l’avait imaginée : sa rencontre avec Eyrie, une jeune femme aux cheveux roses venue d’un autre monde l’amènera à douter non seulement des intentions de sa mère, mais aussi de son propre passé.

Acceptera-t-il d’obéir aux ordres de la Reine ? Écoutera-t-il son cœur ? Brisera-t-il le mystère qui entoure cette belle inconnue aux pouvoirs si particuliers ?

Plongez avec Albeyron et Eyrie à la recherche de la cité des nymphes…

Venez découvrir Valdaeryn emprisonnée sous les glaces de Leevindia…

Mon avis

Un très beau coup de coeur pour cette lecture. Coup de coeur pour l’histoire, l’écriture et le style. Un livre très agréable à lire, je suis rapidement rentrée dans l’histoire et j’ai adoré. Un livre à mi chemin entre la fantasy et la littérature jeunesse. Je rêvais d’un tel livre, un livre féerique mais sans le côté jeunesse tel que : une typographie assez grosse, des paragraphes très aérés et un nombre de pages plutôt limitées. Là c’est un livre livre dense, avec un univers approfondi,un livre féérique mais avec sa part d’ombre, un monde fabuleux mais avec sa part de noirceur. L’écriture est riche, élaborée digne d’un très bon roman de fantasy. Une histoire de conte de fée, un conte tout court. Un monde fabuleux.

Une carte de Valdaeryn est en début de livre et un lexique en fin de livre. Lorsqu’on lit un roman qui se déroule dans un monde imaginaire, je trouve hyper important qu’il y ait une carte de ce monde là. De plus il y a une superbe illustration à chaque fin de chapitre.

J’espère que les autrices sortiront assez rapidement le tome 2. Je souhaite un immense succès à ce premier tome auto- édité, il le mérite largement.