Vous faites quoi pour Noël ? Carène Ponte

Editions POCKET – 247 pages

Quatrième de couverture

Plongez Pauline dans une fête de Noël très arrosée au bureau. Pimentez d’un dérapage torride dans le parking de son immeuble avec l’assistant du DRH. Ajoutez un enregistrement de vidéosurveillance. Et vous comprendrez que Pauline peut dire adieu à ses vacances pépères, genre siestes en pyjama licorne et comédies romantiques à gogo. L’urgence : se rapprocher de celui qui détient la vidéo si compromettante pour sa réputation, le séduisant gardien de son immeuble ! Celui-ci lui propose un marché. En tout bien tout honneur….

Mon avis

j’ai découvert cette autrice avec ce livre, j’en entends parler en bien depuis longtemps. J’ai acheté Vous faites quoi pour Noël ? à la foire du livre de Brive en novembre dernier, une très belle rencontre d’ailleurs. Ce livre a été une belle lecture, je me suis régalée. J’ai aimé le style et l’écriture de l’autrice. J’ai adoré l’humour qu’elle a mis dans ce livre, tout comme l’ambiance, les personnages et les décors. Je me réjouis par avance de me dire qu’il y a un tome 2.

Changer l’eau des fleurs – Valérie Perrin

éditions Le livre de poche – 672 pages

Quatrième de couverture

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se confier et se réchauffer dans sa loge. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle forme une famille décalée. Mais quels événements ont mené Violette dans cet univers où le tragique et le cocasse s’entremêlent ?

Mon avis

Une bonne lecture mais sans plus. J’ai trouvé ce livre assez déprimant, destins et vie brisés, protagonistes qui passent à côté de leur vie, quelques longueurs notamment en ce qui concerne Irène et Gabriel. Le tout sur 672 pages ce fût trop pour moi et j’avais hâte de le finir.

Valdaeryn – Tome 1 – Mélanie Pelet et Marina Fliquet

livre auto-édité – 220 pages

Quatrième de couverture

Un matin, le vent s’est levé sur le monde fabuleux de Valdaeryn. Il est venu annoncer à la Reine Leevinidia la fin prochaine de son règne.

Soucieuse de conserver son trône et son emprise gelée sur son royaume, la cruelle magicienne confie au Prince Albeyron la tâche d’éliminer cette menace et de lui apporter un collier enchanté. Le voyage que s’apprête à faire l’elfe se transformera en une quête plus sombre qu’il ne l’avait imaginée : sa rencontre avec Eyrie, une jeune femme aux cheveux roses venue d’un autre monde l’amènera à douter non seulement des intentions de sa mère, mais aussi de son propre passé.

Acceptera-t-il d’obéir aux ordres de la Reine ? Écoutera-t-il son cœur ? Brisera-t-il le mystère qui entoure cette belle inconnue aux pouvoirs si particuliers ?

Plongez avec Albeyron et Eyrie à la recherche de la cité des nymphes…

Venez découvrir Valdaeryn emprisonnée sous les glaces de Leevindia…

Mon avis

Un très beau coup de coeur pour cette lecture. Coup de coeur pour l’histoire, l’écriture et le style. Un livre très agréable à lire, je suis rapidement rentrée dans l’histoire et j’ai adoré. Un livre à mi chemin entre la fantasy et la littérature jeunesse. Je rêvais d’un tel livre, un livre féerique mais sans le côté jeunesse tel que : une typographie assez grosse, des paragraphes très aérés et un nombre de pages plutôt limitées. Là c’est un livre livre dense, avec un univers approfondi,un livre féérique mais avec sa part d’ombre, un monde fabuleux mais avec sa part de noirceur. L’écriture est riche, élaborée digne d’un très bon roman de fantasy. Une histoire de conte de fée, un conte tout court. Un monde fabuleux.

Une carte de Valdaeryn est en début de livre et un lexique en fin de livre. Lorsqu’on lit un roman qui se déroule dans un monde imaginaire, je trouve hyper important qu’il y ait une carte de ce monde là. De plus il y a une superbe illustration à chaque fin de chapitre.

J’espère que les autrices sortiront assez rapidement le tome 2. Je souhaite un immense succès à ce premier tome auto- édité, il le mérite largement.

Un baiser qui palpite là, comme une petite bête – Gilles Paris

éditions GALLIMARD – 224 pages

Quatrième de couverture

Une histoire d’amitié forte qui, sur fond de quête identitaire, aborde notamment les problèmes liés à la violence et au harcèlement.

«Je me suis laissée prendre, comme une fille facile.» Ainsi parle Iris avant de se donner la mort. C’est un choc pour l’ensemble du lycée mais surtout pour Emma, Tom et leurs amis. Conscients d’avoir mal agi, ils tiennent à mieux comprendre ce qui s’est passé et à défendre la mémoire d’Iris.

Mon avis

Tout d’abord merci à Gilles Paris et aux éditions Gallimard pour leur confiance.

Avec ce roman je ne m’attendais pas de rentrer dans le monde merveilleux des adolescents mais je ne m’attendais pas non plus à ce que j’ai lu.

J’ose espérer et je suis même certaine que la majorité des collégiens et lycéens non pas cette vie dissolue et inconsciente. Je sais bien qu’il faut que «jeunesse se passe » mais il y a des limites !

Sexe, alcool et drogue à tout va si je puis dire…Le mal être peut conduire biensûr à des façons de faire/vivre excessives mais bon…

Par contre je m’attendais tout à fait à ce que j’ai lu sur les réseaux sociaux qui peuvent se transformer en véritable calamité pour les ados, et ça ça fait relativement peur.

Ce livre est très noir et fataliste mais d’un autre côté il met en lumière une triste réalité. La terrible réalité du harcèlement qui est amplifié, démultiplié via les réseaux sociaux et les smartphones .

Un bon livre d’actualité qui sera perçu je pense différemment suivant l’âge où on le lit.

Le château de ma mère – Marcel Pagnol

Quatrième de couverture

Le plus beau livre sur l’amitié enfantine : un matin de chasse dans les collines, Marcel rencontre le petit paysan., Lili des Bellons. Ses vacances et sa vie entière en seront illuminées.

Un an après La Gloire de mon père, Marcel Pagnol pensait conclure ses Souvenirs d’enfance avec ce Château de ma mère (1958), deuxième volet de ce qu il considérait comme un diptyque, s’achevant sur la scène célèbre du féroce gardien effrayant la timide Augustine. Le petit Marcel., après la tendresse familiale, a découvert l’amitié avec le merveilleux Lili., sans doute le plus attachant de ses personnages. Le livre se clôt sur un épilogue mélancolique., poignante élégie au temps qui a passé. Pagnol y fait vibrer les cordes d’une gravité à laquelle il a rarement habitué ses lecteurs.

Mon avis

Un roman très bien écrit, agréable à lire, une histoire émouvante. Il s’agit d’une relecture mais je l’ai lu il y a vraiment très longtemps. Les passages que je n’ai pas aimé dans ce livre ce sont ceux parlant de chasse.

La lumière est à moi et autres nouvelles – Gilles Paris

Editions GALLIMARD Collection haute enfance

208 pages

Un immense merci aux éditons Gallimard  et à Gilles Paris pour sa confiance.

 

Quatrième de couverture

Anton, Eytan, Angus, Julian, Aaron, Lior, Ethel, Anna, Ruth, Ambre, Brune… Les héros romanesques de Gilles Paris ont tous en commun une part d’enfance déchue, le désir de s’échapper, happés par l’espoir d’une vie plus lumineuse. Des bords de Seine aux rivages du lac Léman, de la mer des Éoliennes à l’océan Atlantique, leurs destins intranquilles se nouent et se dénouent, à l’heure où les paysages s’incendient en fin de journée.

Mon avis

J’ai passé de belles heures de lecture avec ce recueil de nouvelles. Elles sont toutes plus touchantes et/ou belles les unes que les autres, certaines sont bien surprenante.

Bien entendu j’ai des préférences pour certaines que je ne citerais pas pour ne rien dévoiler.

Il m’est très difficile de faire une chronique sur des nouvelles, il y en a dix-neuf et il m’est impossible de les chroniquer toutes sans me répéter.

Donc globalement j’ai énormément aimé dix-sept d’entre elles, certaines des coups de coeur, mais les deux restantes je les ai beaucoup apprécié aussi.

L’écriture sobre et sensible de l’auteur est un régal. Beaucoup d’émotions dans ce recueil, certaines nouvelles m’ont énormément touchées, certaines mériteraient quasiment un roman pour exploiter encore plus tout le potentiel de l’histoire et des personnages, mais attention cela ne veut pas dire qu’elles ne se suffisent pas à elles mêmes, loin de là !

Et malgré le format court des nouvelles le lecteur a le temps de s’attacher aux personnages et à leur histoire, tout un univers en quelques pages .

Un beau coup de coeur pour ce service presse et un grand merci à l’auteur non seulement pour cette lecture mais aussi pour la dédicace.

Une excellente lecture, un livre à s’offrir et à offrir sans hésitation.

Susan Hopper tome 2 – Anne Plichota et Cendrine Wolf

1507-1

éditions XO Jeunesse

329 pages

Merci à logo_livraddict et aux éditions XO Jeunesse LogoXO

 

Quatrième de couverture

Après des années passées dans l’orphelinat des Highlands en écosse, Susan goûte enfin au bonheur d’être accueillie par Helen Hopper, la femme au parfum perdu. Très vite, pourtant, le passé revient la hanter. Douze de ses aïeux démoniaques se sont installés non loin du manoir des Hopper, bien décidés à réveiller la malédiction qui pèse sur elle. ils ont laissé Eliot, le fils des Hopper, dont elle est follement amoureuse, entre la vie et la mort.Dans sa lutte contre les puissances du mal, Susan peut compter sur la bienveillance d’Alfred, le grand-père fou au cœur tendre, et de Georgette, sa chienne facétieuse. Malgré la malédiction et ses conséquences effroyables, elle veut devenir Susan Hopper…

Susan Hopper est signé par Anne Plichota et Cendrine Wolf, les auteurs de la célèbre série Oksa Pollock, traduite dans 27 langues.  Après Le parfum perdu, Les forces fantômes est le second et dernier tome des aventures de Susan Hopper.

 

Mon avis

J’ai été emballé par le tome 1 de Susan Hopper mais, et oui il y a malheureusement un « mais » ce tome 2 m’a beaucoup moins emballé.

Le rythme est assez lent et il ne se passe pas grand chose durant toute la première moitié du livre, la seconde moitié est mieux, il se passe un peu plus de choses mais des actions trop rapides et trop courtes forcément.

Les méchants qui sont quand même d’après la quatrième de couverture « les puissances du mal » sont là oui mais plutôt discrets, trop discrets.

Soit il aurait fallu que cette série ne soit pas jeunesse et que les auteurs aillent vraiment au  bout de l’histoire c’est-à-dire une histoire beaucoup plus complexe et style livre d’horreur ou soit il aurait fallu une histoire différente du moins du côté des démons.

J’ai l’impression d’une histoire « expurgée » pour passer en jeunesse, l’impression d’un manque, l’impression de superficialité et cela surtout par rapport au tome 1 qui laissait présager un excellent diptyque.

Bref je trouve le thème mal exploité même en littérature jeunesse et je m’attendais vraiment à autre chose par rapport au tome 1.

Malgré tout cela je n’ai pas non plus détesté cette lecture, j’ai retrouvé avec plaisir Susan, Eliot, Alfred et Helen sans oublié la petite Georgette ! L’écriture est agréable et si je fais abstraction de mon coup de cœur pour le tome 1 l’histoire est sympathique et plaira certainement à beaucoup. Je ne me suis pas non plus forcée à le finir, j’ai globalement bien aimé mais je m’attendais vraiment à autre chose.

 

En conclusion Susan Hopper est une histoire en deux tomes à lire pour une lecture très légère et moins étoffé que certaines lectures jeunesse.

Eragon – tome 4 – Christophe Paolini

9782747028554

éditions Bayard Jeunnesse

888 pages

Quatrième de couverture

Des villes assiégées, Une île par-delà les tempêtes, D’anciennes prédictions, Un destin s’accomplit… Il y a peu encore, Eragon n’était qu’un simple garçon de ferme, et Saphira, son dragon, une étrange pierre bleue ramassée dans la forêt… Depuis, le sort de plusieurs peuples repose sur leurs épaules. De longs mois d’entraînement et de combats, s’ils ont permis des victoires et ranimé l’espoir, ont aussi provoqué des pertes cruelles. Or, l’ultime bataille contre Galbatorix reste à mener. Certes, Eragon et Saphira ne sont pas seuls, ils ont des alliés : les Vardens conduits par Nasuada, Arya et les elfes, le roi Orik et ses nains, Garzhvog et ses redoutables Urgals. Le peuple des chats-garous s’est même joint à eux avec son roi, Grimrr Demi-Patte. Pourtant, si le jeune Dragonnier et sa puissante compagne aux écailles bleues ne trouvent pas en eux-mêmes la force d’abattre le tyran, personne n’y réussira. Ils n’auront pas de seconde chance. Tel est leur destin. Il leur faut renverser le roi maléfique, restaurer la paix et la justice en Alagaësia. Quel que soit le prix à payer. Après Eragon, L’Aîné et Brisingr, le livre IV du cycle de l’Héritage entraîne ses lecteurs vers un achèvement digne de l’éclat, du souffle et de la puissance des dragons !

 

Mon avis :

Cette saga se conclue en apothéose avec ce 4ème tome. l’un des meilleurs à  mon avis. L’auteur conclu cette quadrilogie de façon magistrale. Des combats, du suspense, de la magie, des émotions diverses. L’auteur a très bien développé certains personnages et j’en suis ravie. Tout est cohérent,  une univers bien construit.

Une excellente lecture, un tome très addictif. Une belle et grande histoire de dragons et de dragonniers mais pas seulement.

Une saga de fantasy à lire absolument.

1

La trilogie de Wieslstadt – tome 1 – Pierre Pevel

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éditions Pocket

308 pages

 

Quatrième de couverture

Hiver 1620.Les premiers feux de la guerre de Trente Ans dévorent le Saint empire romain germanique mais épargnent Wielstadt. Protégée depuis toujours par un dragon, cette ville allemande est le théâtre d’une autre bataille qu’un exorciste en armes, le chevalier Kantz, mène seul contre le Mal.

Mon avis

J’ai fini ce premier tome le 11 novembre et entre temps j’ai lu d’autres livres et en particulier le tome 2. Contrairement au tome 2 que je n’ai pas du tout aimé j’avais plutôt apprécié le tome 1 qui avait été une bonne lecture.

La trilogie de Wielstadt – tome 2 – Pierre Pevel

pocket05837-2004

 

Quatrième de couverture

Eté 1623. Grâce au dragon qui la protège, Wielstadt est toujours épargnée par la guerre de Trente Ans qui, désormais, ravage tout le Saint empire romain germanique. Mais d’autres dangers la menacent, contre lesquels seul le chevalier Kantz se dresse. Pour triompher, il lui faudra vaincre trois démons surgis des Enfers, déjouer les complots de la Ste-Vehme et résoudre le mystère d’une prophétie longtemps tenue secrète.

Mon avis

Je me suis terriblement ennuyée avec ce tome 2 qui ressemble plus à un roman historique qu’à un roman de fantasy. J’apprécie les romans historiques là n’est pas la question mais d’une j’avais envie de fantasy en lisant ce livre et de deux beaucoup trop de détails.

C’est lent, pas beaucoup de suspense, pas de personnage attachant, pas vraiment d’intrigue et très peu voir pas du tout de fantasy. Je n’ai pas du tout accroché et je n’ai pas prévu de lire le tome 3.

 

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