Yellow Jessamine – Caitlin Starling

éditions du Chat Noir – 188 pages

Quatrième de couverture

Lady Evelyn Perdanu, magnat des transports maritimes, contrôle la ville de Delphinium grâce à son sens des affaires et aux informations qu’elle récolte à propos de ses habitants.
Un jour, une maladie inconnue frappe la population provoquant une étrange obsession qui conduit inéluctablement à la mort. Convaincue d’être impliquée dans l’épidémie, Evelyn se retire dans sa demeure, entre paranoïa et secrets empoisonnés, résolue à déraciner ce fléau avant qu’il ne détruise tout ce qu’elle a construit.

Mon avis lu en février

Une lecture très moyenne, il m’a manquait des précisions dans l’histoire pour comprendre. Il m’a manquait également une carte parce que là aussi j’ai beaucoup de mal à comprendre l’histoire. En fait je n’ai pas compris grand choses et au bout d’un moment je n’ai plus cherché à comprendre !!!!

Les couleurs du ghetto – Aline Sax

éditions La joie de Lire – 169 pages

Quatrième de couverture

Varsovie, octobre 1940. Le quartier dans lequel vit Misja, sa soeur et ses parents, est transformé, sous l’occupation nazie, en ghetto. Tous les Juifs de la ville et de ses environs y sont enfermés. Les maladies, la faim et les expulsions éliminent lentement mais sûrement la population. Misja, lui, refuse la situation, il ne veut pas se laisser emmener à l’abattoir comme un agneau…

Mon avis

Je suis incapable d’écrire quoi que ce soit sur le livre. Je l’ai lu en une journée car très court et ne n’en garde aucun détail….

Editions Gallimard

448 pages

Quatrième de couverture

Dans un village proche de la ville côtière de Putian, en Chine méridionale, au début du vingtième siècle, Yong Sheng est le fils d’un menuisier-charpentier qui fabrique des sifflets pour colombes réputés. Les habitants raffolent de ces sifflets qui, accrochés aux rémiges des oiseaux, font entendre de merveilleuses symphonies en tournant au-dessus des maisons. Placé en pension chez un pasteur américain, le jeune Yong Sheng va suivre l’enseignement de sa fille Mary, institutrice de l’école chrétienne. C’est elle qui fait naître la vocation du garçon : Yong Sheng, tout en fabriquant des sifflets comme son père, décide de devenir le premier pasteur chinois de la ville. Marié de force pour obéir à de vieilles superstitions, Yong Sheng fera des études de théologie à Nankin et, après bien des péripéties, le jeune pasteur reviendra à Putian pour une brève période de bonheur. Mais tout bascule en 1949 avec l’avènement de la République populaire, début pour lui comme pour tant d’autres Chinois d’une ère de tourments qui culmineront lors de la Révolution culturelle.

Dai Sijie, dans ce nouveau roman, renoue avec la veine autobiographique de son premier livre, Balzac et la petite tailleuse chinoise. Avec son exceptionnel talent de conteur, il retrace l’histoire surprenante de son propre grand-père, l’un des premiers pasteurs chrétiens en Chine.

Mon avis

Mon avis tient en un mot « ENNUYEUX », je n’ai pas aimé cette lecture. Hormis le fait qu’au niveau historique ce livre est plutôt intéressant pour le restant c’est vraiment un sentiment d’ennui qui ressort de cette lecture

La Faucheuse t1 – Neal Shusterman

Editions Robert Laffont (R)

493 pages

Quatrième de couverture

Les commandements du Faucheur :
Tu tueras.
Tu tueras sans aucun parti pris, sans sectarisme et sans préméditation.
Tu accorderas une année d’immunité à la famille de ceux qui ont accepté ta venue.
Tu tueras la famille de ceux qui t’ont résisté.

Mon avis

Cette trilogie me tente depuis pas mal de temps et les trois tomes étant disponibles à la médiathèque je les ai pris. J’ai commencé la lecture de ce premier tome pas trop convaincu, la mort étant une état par lequel il faudra passer un jour, une chose horrifiante. Bref le début de se livre a été assez laborieux moralement pour moi, il m’a fallu un peu de temps pour bien rentrer dans l’histoire. Certaines choses sont un peu prévisibles mais pas trop quand même donc pas de déception. Certains personnages sont attachants, d’autres très attachants. Il n’y a pas vraiment de protagonistes détestables.

Je n’ai pas réussi à voir Maître Goddard en monstre dépourvu d’humanité, sa façon d’être et de parler me faisait penser à Hadès, le Hadès du dessin animé Hercule !!!! Donc là l’effet certainement escompté par l’auteur n’a pas été efficace pour moi. Je vois plus Goddard en un méchant rigolo et complètement déjanté !!! Je n’ai pas réussi à le voir en gros psychopathe, un décalage entre les actes et la façon de faire du personnage, c’est dommage !

J’ai beaucoup aimé la fin de ce premier tome et j’ai hâte de lire la suite .

Le prix d’Alaya T1 – Magali Ségura

Editions Bragelonne – 360 pages

Quatrième de couverture

Naslie est une simple sorcière mineure. Pourtant, elle est l’Élue. Les dieux lui ont confié la graine de l’Éternité, et elle a décidé d’en faire don à sa terre.
Neuf ans après son Choix, elle craint toujours la vengeance de l’Ancien, un puissant sorcier majeur qui convoitait le précieux don. Elle fuit sans cesse avec son fils Jelis, âgé de huit ans, qui ignore tout de ses origines. Décidé à retrouver son père et à réunir ses parents, l’enfant fugue. Il ignore les périls qui le guettent : nombreux sont ceux qui pourraient vouloir sa mort, car son existence même pourrait bien bouleverser l’équilibre entre l’Acier et la Magie, les deux puissances de l’archipel, et mener une fois de plus cette terre au chaos.

Mon avis:

J’avais beaucoup aimé Leïlan de cette autrice mais là « Le prix d’Alaya » fût une grande déception. J’ai eu une impression par certains moments de tourner en rond. Surtout lorsque l’héroïne va d’un point A pour aller à un point B et revenir au point A sans que ça apporte grand chose voir rien à l’histoire ou au lecteur à part de l’ennui ! Du moins c’est mon ressenti. Quant au reste du roman, beaucoup de choses sont prévisibles, notamment ce qui arrive à Jelis. Donc là encore de l’ennui et lorsque je m’ennuie dans un tome 1 je passe mon tour pour les tomes suivants, je ne lirai pas la suite. J’ai eu la curiosité de lire la quatrième de couverture des tomes 2 et 3 sur Livraddict et ça ne m’a pas incité à les lire quand même ! C’est dommage parce que l’univers de ce roman est plutôt pas mal mais l’histoire et la narration laisse trop à désirer à mon goût.

J’ai lu ce livre pour différents challenges

  • Evasion Livresque Hivernale Challenge du 01 décembre au 28 février (sur facebook)
  • Cold Winter Challenge
  • En 2021 je compte mes pages (livraddict)
  • Pioche dans ma Pal(livraddict) du 01/01 au 28/02
  • Le challenge des sagas du 01/01 au 31/12 (livraddict)
  • Challenge des 100 lectures en 2021 (livraddict)

Le cordonnier de la rue triste – Robert Sabatier

éditions Albin Michel

228 pages

 

Quatrième de couverture

« J’ai désiré écrire un roman simple, économe de mots, se référant en priorité aux sentiments et aux personnes. Une rue étroite dans Paris aux moments sombres de son histoire. Là, une petite boutique : celle de marc le cordonnier. Il est jeune, beau, libre. Son plaisir : courir dans la ville. Survient un accident qui bouleverse sa vie entière. Une religieuse en est témoin. Elle l’assiste, le soigne, l’accompagne dans sa convalescence, puis s’éloigne. Reste l’ami de Marc, Paulo, le bizarre énergumène, moqué de tous, chiffonnier mais surtout donneur de coups de main, toujours prêt à rendre service. Et d’autres : Mme Gustave qui tient un bistrot, Lucien l’imprimeur, M. marchand au service de la police, Rosa la fille des rues… Enfin, la petite fille. Elle représente la fragilité, la douceur, la grâce, un peu de la beauté du monde. Je ne raconte pas plus. Marc le cordonnier va tenter de reconstruire sa vie, partagé entre la fierté de l’artisan, le désir du savoir, le goût de la musique. Au lecteur, à la lectrice de découvrir. Peut-être se retrouveront-ils dans ces pages. Après onze chapitres, le douzième va basculer dans notre temps, un aujourd’hui qui métamorphose la rue, transforme les êtres.Si vous qui me lisez ressentez le bonheur et la mélancolie, l’émotion et l’amour qui m’ont envahi, nous sommes les mêmes. »Robert Sabatier
Mon avis
Une très bonne lecture, j’apprécie énormément cet auteur et je l’ai retrouvé avec Le cordonnier de la rue triste avec grand plaisir. J’ai aimé l’écriture et le style de Robert Sabatier, comme en son habitude il nous transporte en d’autres lieux et une autre époque avec finesse, tendresse et réalisme.
Des personnages attachants, courageux et touchants.
Un beau livre.

Le village – Dan Smith

éditions 10/18

476 pages

Quatrième de couverture (inutile de lire toute la quatrième de couverture, la première ligne suffit amplement !!!!)

Sur la piste d’un tueur en série dans la Russie de Staline.Hiver 1930. Vyriv, un petit village isolé de l’ouest de l’Ukraine. Dans la steppe enneigée, Luka, vétéran de la guerre de Crimée, recueille un homme inconscient. Dans son traîneau, deux corps d’enfants atrocement mutilés. Lorsque Luka revient au village, les habitants s’affolent. Avec l’arrivée au pouvoir de Staline, la paranoïa règne. Dans cette petite communauté jusqu’ici préservée, tout le monde craint l’arrivée de l’Armée rouge et des activistes. La venue de cet étranger n’annonce-t-elle pas un péril plus grave encore ? Luka n’aurait-il pas fait entrer un monstre dans le village, un assassin d’enfants, l’incarnation du mal ? Quand une fillette du village disparaît, Luka promet solennellement de la retrouver. À travers les étendues gelées de cette région hostile déchirée par la guerre et la brutalité, où la survie est un souci de chaque instant, il se lance alors à la poursuite d’un prédateur particulièrement retors

Mon avis :

Grand coup de coeur pour ce livre inoubliable, un roman fort, puissant, dense et captivant. Ce bouquin est excellent, la psychologie des personnages, les faits dramatiques, les lieux sauvages où se déroulent les faits.

Que dire d’autre, ce livre est génial, hyper captivant du début à la fin. Il est peu connu mais il mériterait de l’être , à lire absolument !

Le sel de nos larmes – Ruta Sepetys

éditions Gallimard Jeunesse

477 pages

Quatrième de couverture

Hiver 1945. Quatre adolescents. Quatre destinées.

Chacun né dans un pays différent.
Chacun traqué et hanté par sa propre guerre. Parmi les milliers de réfugiés fuyant à pied vers la côte de la mer Baltique devant l’avancée des troupes soviétiques, quatre adolescents sont réunis par le destin pour affronter le froid, la faim, la peur, les bombes… Tous partagent un même but: embarquer sur le Wilhelm Gustloff, un énorme navire promesse de liberté…

Ruta Sepetys révèle la plus grande tragédie de l’histoire maritime, qui a fait six fois plus de victimes que le Titanic. Cette catastrophe méconnue lui inspire une vibrante histoire d’amour, de courage et d’amitié.

 

Mon avis

Tout d’abord pour ceux et celles que ça pourrait déranger ne vous arrêtez pas au « jeunesse » de Gallimard Jeunesse. Ce livre est excellent et doit être également lu par les adultes.

Une excellente lecture, un bon roman historique qui relate une catastrophe pire que le Titanic et dont je n’avais entendu parler pourtant j’ai lu pas mal de chose sur la seconde guerre mondiale.

Le drame de cette tragédie maritime est terrible et il en est de même des réfugiés de guerre qui fuient l’armée Russe qui ravage tout sur son passage.

J’ai lu pas mal de romans ou témoignages sur la seconde mondiale et j’avoue que ce que j’ai lu dans ce roman m’était totalement inconnu.

Ce roman est très bien écrit, les personnages attachants. J’ai eu une préférence pour Joana qui est admirable. Mais d’autres m’ont beaucoup marqué. J’ai beaucoup aimé d’avoir le point de vue de chaque personnage et le ressenti de chacun, chaque chapitre porte le nom d’un protagoniste et cela apporte énormément au lecteur.

Ce livre est un incontournable, à lire absolument.

 

 

Tempêtes solaires – le nouveau monde – Ludovic Spinosa

éditions Persée

Collection La traversée du miroir

223 pages

Merci à Ludovic Spinosa, à Thomas VALLEE et aux éditions Persée

 

 

Quatrième de couverture

Conséquence de tempêtes solaires, l’énergie de la planète disparaît soudainement et totalement, propulsant les êtres humains deux cents ans en arrière. Le dérèglement climatique qui fait suite obligera l’être humain à changer son comportement actuel.
Que feriez-vous si, du jour au lendemain, vous vous retrouviez dans le noir total, chaque nuit ?
Que feriez-vous si, du jour au lendemain, vous étiez privé de tout votre confort, même le plus minime ?
Jack, Steve, Joshua, Jiao, Laura et Thibaut vont le vivre pour vous. Confrontés à plusieurs catastrophes naturelles de dimension mondiale, comment vont-ils évoluer, mais surtout survivre ?
Est-ce l’apocalypse ? Peut-on qualifier ainsi la disparition de notre technologie et des sources d’énergie que nous connaissons de nos jours ?
Et si ce jour était demain ?

Né en 1977 à Montpellier, Ludovic Spinosa est un autodidacte atypique. Déjà auteur de plusieurs ouvrages dans le domaine des sciences humaines, il se lance aujourd’hui dans la littérature à travers ce premier roman de science-fiction.

Mon avis

J’ai découvert cet auteur sur facebook et je suis ravie d’avoir pu lire Tempêtes Solaires qui est un roman science fiction mais quand même plus un roman d’anticipation ou une docu fiction.

Ce qui fait le plus peur, du moins pour moi, dans ce livre finalement ce n’est pas la catastrophe naturel qui arrive mais plus de voir encore une fois et puissance mille qu’une minorité de d’humains (et on pourrait se poser la question sur leur part d’humanité)  fait régner la violence, le meurtre et autres horreurs.

La tempête solaire est tout de même horrible par tout ce qu’elle engendre de négatif, les difficultés d’adaptation des l’Humains, repartir 200 ans voir plus en arrière du jour au lendemain.

 

J’ai apprécié l’écriture de l’auteur, ce livre est très agréable à lire et assez addictif. J’ai bien aimé l’alternance de chapitres pour les différents protagonistes. Un roman assez noir et je rejoins totalement l’auteur sur la religion « il était une fois…  » exactement la même vision de la chose.

 

Le livre commence le 14 décembre 2026…je pourrais vous en dire plus mais il vaut mieux que vous lisiez Tempêtes Solaires pour en savoir plus, ce livre est très réaliste sans sentimentalisme comme dans les films catastrophes.

Une très bonne lecture.

 

 

Le songe d’une nuit d’été – William Shakespeare

éditions Librio

93 pages

 

Quatrième de couverture

Les elfes s’éveillent quand les humains s’endorment.Comment ces deux mondes peuvent-ils alors communiquer ? Contre les lois irrationnelles des bois s’affrontent celles, anti-naturelles, de la cité d’Athènes. Hermia en est une victime. Égée, son père, veut la marier à Démétrius, lui-même convoité par Hélène. Hermia se réfugie dans la forêt, royaume des esprits et des lutins… Comédie légère en cinq actes, en vers et en prose, écrite en 1595, Le songe d’une nuit d’été est un hymne baroque et féerique au pouvoir de l’imagination.

Mon avis

Voilà un petit livre qui fait du bien, une Grande pièce de théâtre pour être plus juste. J’aime beaucoup William Shakespeare, la première que je l’ai lu je m’attendais à quelque chose de ardu pas facile d’accès et j’ai été très surprise de voir combien lire cet auteur était agréable et pas du tout compliqué.

Le songe d’une nuit d’été et une pièce délicieuse avec une pointe d’humour et des jeux de mots notamment page 89 qui montre une facette de l’homme qu’était Shakespeare.

L’auteur en profite un peu pour fustiger la société aristocratique vis-à-vis des comédiens, c’est subtil mais bien présent.

J’ai bien évidemment adoré la présence des fées et des elfes, ils adoucissent la cruauté d’une société où on ne choisit pas sa vie amoureuse et sa vie tout court.

Entre féerie, suspense et un soupçon d’humour Le songe d’une nuit d’été est un régal, à lire absolument, vous ne regretterez pas du tout, un petit chef d’œuvre.