La grande course – Nicolas Vanier

éditions Pocket

296 pages

Quatrième de couverture

Nicolas Vanier n’est jamais loin de l’aventure. Il doit sans doute trépigner d’impatience de repartir en territoires extrêmes lorsqu’il se pose pour relater ses voyages dans les plaines glacées de Sibérie ou d’Alaska. Remercions-le d’avoir tout de même pris le temps d’écrire La Grande Course. L’auteur y revient, avec son écriture haletante, sur sa participation à la course de traîneau à chien la plus relevée du monde, la Yukon Quest. Les amateurs de sensation forte auront ainsi l’impression de faire partie de l’équipée, attelage de l’homme et de l’animal en environnement hostile.

Mon avis

Grand coup de coeur pour ce livre. J’admire Nicolas Vanier, son esprit aventurier, sa passion et son amour pour ces chiens, son courage, sa persévérance et sa droiture.

Un livre qui vous fait voyager, un régal, j’ai adoré ma lecture. C’est passionnant, très bien écrit.

N’hésitez surtout pas à découvrir cet auteur et aventurier de grand talent.

L’école buissonnière – Nicolas Vanier

édtions XO

404 pages

Je remercie chaleureusement  Mélanie Rousset des éditions pour ce service presse.

 

Quatrième de couverture

«Au bout de l’allée forestière, là où la brume avait avalé le monde, quelque chose émergeait lentement, une chimère grandissant comme dans un rêve. Un cerf immense déchira le brouillard, sa ramure était si ample que, pendant un instant, Paul crut que l’ombre l’avait décuplée… »Pour Paul qui n’a jamais rien connu d’autre que l’univers minéral de la banlieue parisienne, la découverte de la nature sauvage de la Sologne est fascinante.Confié à Borel, le garde-chasse bourru du domaine du comte de La Fresnaye, et à sa femme, le jeune garçon ne tarde pas à faire la connaissance du braconnier le plus rusé du pays.Sur les bords de la Loire se noue alors une amitié sincère entre l’homme des bois et le gamin des villes. Paul découvre les secrets de la nature, goûte à la liberté, respire à pleins poumons cette nouvelle vie, rêvant jour et nuit de cette belle et jeune Gitane qui nage nue dans l’étang de la Malnoue.Jusqu’au jour où il tombe sur un cerf majestueux qu’il veut protéger des hommes. Une quête qui le confrontera au secret de sa propre naissance…Avec ce roman d’apprentissage, Nicolas Vanier nous convie dans cette Sologne mystérieuse qu’il chérit depuis son enfance.

Une ode à la nature, qui rappelle Maurice Genevoix, mais aussi une réflexion sur l’identité, les racines, l’amitié. Un texte à la fois fort et tendre, loin de l’agitation du monde.

Nicolas Vanier est l’auteur du film L’école buissonnière, qui sortira en salles en octobre 2017.

 

Mon avis

Ce livre est un petit bijou, un beau livre de part son histoire et de part son écriture. Un énorme coup de cœur. J’apprécie l’écrivain et le musher Nicolas Vanier, j’ai énormément aimé « Avec mes chiens » que j’ai lu il y a peu et il en va de même pour « L’école buissonnière », j’ai adoré ce roman.

Ce livre est tellement bien écrit, les mots font passer tellement d’émotions, l’histoire est tellement belle, vraie, émouvante qu’il est juste impossible de ne pas avoir un coup de coeur. Les sentiments de chacun tout à fait justes, c’est  un bonheur de lire un tel livre.

L’auteur nous parle d’un temps totalement révolu, c’est un beau voyage dans le passé  avec ses avantages et ses inconvénients mais surtout avec ses valeurs et de belles valeurs, authentiques et simples.  Il nous décrit une nature belle et sauvage au fil des jours, des vies et des saisons.  Quant aux  relations humaines, elles font chaud au cœur et elles émeuvent le lecteur. J’ai principalement été touchée par le comte de La Freysnaye, un personnage très émouvant que l’on apprend à connaître au fil des pages. Il n’y a guère que Bretrand le fils du comte qui est affreusement antipathique, à part lui  tous les autres personnages sont attachants, ils ont tous quelque chose dans leur passé, dans leur vie qui les rend profondément proche du lecteur. Même Borel assez bourru envers Paul et ennemi de Totoche arrive à être plus ou moins sympathique.

La puissance de l’écriture de l’auteur est telle que lors du prologue qui ne fait même pas dix pages le lecteur rentre tout de suite dans le livre et se sent proche de Mathide. L’effet de bascule dans le chapitre suivant est assez terrible et là on se dit que l’on a entre les mains un livre qu’on oubliera jamais.

J’ai eu plusieurs fois la larme à l’œil durant ma lecture, pas spécialement parce que c’était triste mais surtout parce que c’était touchant dans le sens « avoir le coeur serré »  mais aussi parce que c’était beau tout simplement, la beauté des mots utilisés par l’auteur et la beauté de l’écriture de l’auteur. Son amour pour la nature transparaît dans son écriture et c’est un régal pour le lecteur. Et le petit clin d’œil à sa fille Mountain est très beau aussi.

 

Ce livre est à lire absolument et si vous deviez lire un seul livre cette année il faudrait que ce soit celui là, ce n’est pas possible de ne pas le lire.

Vous l’aurez compris j’ai eu un coup de cœur plus que immense pour ce roman de Nicolas Vanier.

 

Le retour de Jules – Didier Van Cauwelaert

éditions Albin Michel

176 pages

A paraître le 3 Mai 2017

Un grand merci aux éditions Albin Michel et à Gilles Paris pour leur confiance.

Quatrième de couverture

Guide d’aveugle au chômage depuis qu’Alice a recouvré la vue, Jules s’est reconverti en chien d’assistance pour épileptiques. Il a retrouvé sa fierté, sa raison de vivre. Il est même tombé amoureux de Victoire, une collègue de travail. Et voilà que, pour une raison aberrante, les pouvoirs publics le condamnent à mort…
Mon avis

Je tiens encore une fois à remercier les éditons Albin Michel et Gilles Paris de m’avoir fait confiance en m’envoyant ce livre.

J’avais lu le tome 1 « Jules » que j’avais beaucoup aimé, lorsqu’il est sorti il ne s’agissait pas d’un tome 1 mais si vous souhaitez lire « Le retour de Jules » je vous conseillerais de lire tout de même « Jules » pour  apprécier encore plus « Jules » mais je vous rassure ce n’est pas absolument nécessaire.

J’apprécie beaucoup l’écriture de Didier Van Cauwelaert et là j’ai été encore une fois ravie de retrouver sa plume tout comme j’ai été ravie de retrouver Jules, Alice et Zibal.

C’est une belle histoire même si elle est empreint de tristesse surtout au début. Je n’ai pu que verser des larmes lors de la visite de la fourrière par Zibal et Fred.

J’ai lu ce roman très vite, il est captivant du début à la fin et il est passionnant. L’auteur décrit avec brio les relations entre humains, entre humains et animaux. Il dénonce aussi des faits cruels et il met en lumière les chiens d’aveugles (dans « Jules ») et ici les chiens qui accompagnent les épileptiques mais aussi les chiens qui travaillent dans les brigades anti-terrorisme comme Victoire.

J’ai beaucoup apprécié l’explication de la réaction de Jules vis-à-vis de Kévin. Je trouve que c’est assez judicieux de la part de l’auteur.

Une très bonne lecture, n’hésitez pas à le lire tout comme « Le retour de Jules »

 

 

Mélusine et Philémon – Corinne de Vailly

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éditions France Loisirs

976 pages

Quatrième de couverture

Tome 1

L’anneau du Diable
Jérusalem, août 1174. La princesse Sibylle doit au plus vite rejoindre son père mourant. Chemin faisant, la jeune fille et sa petite escorte tombent dans une embuscade. Le complot se précise lorsque le page Philémon découvre qu’il est l’un des descendants de la fée Mélusine, dont il apprend les exploits au fil de sa quête : réussira-t-il à retrouver l’anneau du Diable ?

L’Ordre de l’Épée
Mer méditerranée, Automne 1174. Pour se soustraire à ses ennemis, Philémon embarque sur un navire en direction de Marseille, en compagnie de son cousin le chevalier Grégoire d’Irfoy. De nombreux événements viennent bientôt troubler leur voyage. Quel est donc cet Ordre de l’Épée dont Philémon découvre l’existence par un vieux parchemin ?

Tome 2

Par les larmes et le sang
Royaume de France, Hiver 1174. Après la traversée des redoutables Quatre-Montagnes, Philémon et son cousin Grégoire découvrent bientôt les Cuves, réseau de grottes profondes et mystérieuses, au fond desquelles la fée Mélusine aurait trouvé refuge. L’anneau du Diable se trouve-t-il au bout de cette route sinueuse entre secrets, mystères et légendes ?

Le cri de la femme-serpent
Royaume de France, 1177-1260. Après quelques années passées à Paris, à étudier la Tradition, Philémon se sent prêt à reprendre la quête du deuxième anneau de Mélusine. Mettra-t-il enfin la main sur le précieux bijou ? Pourra-t-il rentrer chez lui, sauver le royaume latin et retrouver son amour de jeunesse, Sibylle de Jérusalem ?

 

Mon avis

J’ai acheté cette quadrilogie il y a un moment  à FranceLoisirs, il s’agit d’un coffret contenant deux livres, un pour les tomes 1 et 2 et un autre pour les tomes 3 et 4. Le coffret est très joli tout comme les couvertures avec les titres en doré et en relief.

En ce qui concerne mon ressenti concernant cette saga il ne s’agit pas d’un coup de cœur même si j’ai beaucoup aimé. Voici pourquoi je n’ai pas eu un coup de cœur : régulièrement la légende de Mélusine nous est narrée pendant quelques pages, au début j’ai beaucoup apprécié mais lorsqu’il  a fallu lire la vie de ses enfants, 10 au total, avec force détails des lieux, des faits d’armes, des noms et j’en passe. J’avoue que ça m’a très vite lassé et je n’y ai vu aucun intérêt pour l’histoire.

 

Pas de coup de cœur mais j’ai beaucoup aimé le côté historique avec un soupçon de légende, de quête, même si les deux anneaux qui prolonge la vie à comme une impression de déjà vu pour moi mais bon là je cherche un peu la petite bête j’avoue !

J’ai lu cette saga très rapidement j’ai quasiment enchaîné les tomes, cette lecture est très captivante par les aventures vécus principalement par Philémon et son cousin Grégoire où l’on voyage beaucoup avec eux en découvrant une époque avec ces us et coutumes .

Il y a aussi toute une ambiance que j’ai beaucoup apprécié, tout comme l’écriture de l’auteur, c’est très agréable à lire.

Une bonne série que je conseille si vous aimez les romans historiques avec du suspense, de l’aventure, des rebondissements, une légende, des relations humaines diverses, bref une bonne saga à découvrir.

Avec mes chiens – Nicolas Vanier

9782266265133

éditions Pocket

360 pages

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Le site de Nicolas Vanier http://nicolasvanier.com/

 

Quatrième de couverture

Jamais rassasié, Nicolas Vanier repart à l’assaut des grands espaces, toujours accompagné de sa fidèle meute de chiens. Son nouveau défi ? Un voyage de 6 000 km depuis le plus grand océan jusqu’au plus grand lac du monde, à travers la Sibérie, la Chine du Nord et la Mongolie. Une aventure humaine au cœur de paysages immaculés à la rencontre de pêcheurs, trappeurs et chasseurs qui vivent tous en harmonie avec la nature.Le récit d’un lien indéfectible entre l’homme et l’animal. Une histoire d’amour entre un homme et ses chiens.

Mon avis :

Voyage assuré avec ce livre, un très beau récit, j’ai passé un très bon moment de lecture. Nicolas Vanier nous fait partager son périple et on est véritable transporté sur son traineau avec ses chiens. Et quels chiens et quelle belle relation humain/animal, tellement vrai et tellement beau.

Nicolas Vanier et ses chiens sont à pied d’égalité durant ces 6000 km face aux difficultés mais aussi faces aux moments de plénitude.

De fabuleux paysages, féeriques la plupart du temps, la nature à l’état brut très souvent, des conditions extrêmes (pour moi en tout cas!!) qui vous happent et vous passionnent du début à la fin.

Sans oublier l’écriture de l’auteur fluide et agréable. Il fait très bien passer pas les mots ses ressentis, son amour pour ses chiens, sa passion de musher, sa relation exceptionnelle avec des chiens exceptionnels.

Je ne peux que vous inciter à découvrir cet homme, sa passion et ses chiens.

 

Jules – Didier van Cauwelaert

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éditions Albin Michel

277 pages

Un très grand merci à GILLES PARIS SARL pour leur confiance

et un grand merci également aux Editions logo-footer-albin

 

Quatrième de couverture

Une femme qui se cherche. Un homme qui se perd. Un chien qui les trouve…Un livre qui rend heureux.

 

Mon avis

Sur la quatrième de couverture (que j’ai lu car elle ne raconte pas tout le livre et c’est une bonne chose !) on peut lire « Un livre qui rend heureux ». Et bien je confirme à cent pour cent !
Ce roman rend réellement heureux, j’ai passé un excellent moment avec Jules, Alice, Zibal et Fed. Avec un parfait mélange d’humour, d’amour, de sentiments et une excellente écriture ce livre est un régal.
Je n’ai pas lu Didier Van Cauwelaert depuis un petit moment pourtant c’est un auteur que j’apprécie, je ne me souviens pas avoir été déçue par un de ses romans et cela se confirme avec Jules.
Dès le départ je suis rentrée dans le livre et j’ai eu du mal à le poser. J’avoue avoir veillé tard, même très tard pour continuer ma lecture, pas facile de laisser les personnages tant j’avais envie de savoir ce qu’il allait advenir d’eux.
Ayant moi-même un chien j’ai forcément craqué pour Jules, mais je vous rassure, même si vous n’avez pas de chien vous craquerez forcément pour lui, il est tellement génial !!! Il est un personnage à part entière du roman , je dirais même le personnage principal.
Avec ce roman l’auteur nous raconte une très belle histoire, un bon bol d’optimisme et il nous fais un peu découvrir, du moins c’est mon cas, le monde des non-voyants et en particulier le binôme humain/chien.

« Jules » est à lire absolument, vous le fermerez avec le sourire et le moral au top je vous l’assure !

 

 

 

Sukkwan Island – David Vann

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Edidions Folio

231 pages

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Quatrième de couverture

Le monde à l’origine était un vaste champ et la Terre était plate. Les animaux de toutes espèces arpentaient cette prairie et n’avaient pas de noms, les grandes créatures mangeaient les petites et personne n’y voyait rien à redire. Puis l’homme est arrivé, il avançait courbé aux confins du monde, poilu, imbécile et faible, et il s’est multiplié, il est devenu si envahissant, si tordu et meurtrier à force d’attendre que la Terre s’est mise à se déformer.»

Mon avis

Un coup de cœur pour ce livre, pour cette histoire et pour Roy. Page 136 je me suis prise une grosse claque dans la figure, j’ai relu ces quelques lignes plusieurs fois tellement j’ai été choquée, oui le mot n’est pas trop fort. Je ne m’attendais pas à ça…
Je déteste Jim, personne lâche qui ne pense qu’à lui, totalement aveugle aux sentiments de ceux qui l’entoure, un être vraiment détestable.
Une très bonne lecture, ce livre était dans ma PAL depuis un petit moment et je suis ravie de l’en avoir sorti. Mais j’ai toujours en tête cette fameuse pas 136…

A lire absolument

ma note 8/10

Les Outrepasseurs-Les Héritiers tome 1 – Cindy Van Wilder

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éditions Gulf Stream

346 pages

 

Quatrième de couverture

«- Jure-moi fidélité et je te protégerai. Nous le ferons tous.
– Nous ?
– Les Outrepasseurs. Tous ceux qui portent la Marque. Regarde ces jeunes gens. Voilà ta seule famille, à présent. Vous combattrez ensemble. (Il baissa le ton de sa voix.) Nos adversaires ne s’arrêteront jamais. Les fés nous pourchassent depuis huit siècles. Une éternité pour nous. Un instant pour eux.»

Peter, un adolescent sans histoires, échappe de justesse à un attentat et découvre que l’attaque le visait personnellement. Emmené à Lion House, la résidence d’un mystérieux Noble, il fait connaissance avec les membres d’une société secrète, les Outrepasseurs. Les révélations de ces derniers vont changer le cours de sa vie…

Premier tome d’une trilogie envoûtante.

Mon avis

Première lecture de l’année et premier coup de coeur.

Ce book-club exceptionnel sur Livraddict m’a donné l’excuse (oui parce que j’ai quand même une pal assez fournie) d’acheter ce livre qui me fait de l’oeil depuis quelques temps. J’ai été attirée par cette superbe couverture qui est encore plus belle en vraie.
Dans ce premier tome j’ai tout aimé, la façon dont l’auteur nous présente les faits et les personnages. D’ailleurs concernant les personnages je me suis un peu perdue dans les noms et prénoms mais peu importe cela n’enlève en rien le fait que ce livre soit un coup de coeur.
J’ai adoré être transporté au moyen-âge, j’ai beaucoup aimé l’alternance des chapitres entre notre époque et ce temps lointain de 1206.
J’ai été surprise par les fées/fés, je n’ai pas vraiment cette image de ces personnages féeriques, pas facile de les mettre du côté des méchants.
J’ai lu chaque chapitre avec avidité et replongé avec curiosité, appréhension et envie avec les Héritiers.
A ceux et celles qui n’ont pas encore fait connaissance avec les Outrepasseurs je les incite plus que vivement à lire ce premier tome.
Pour ma part j’ai commandé le tome 2 « La reine des neiges » à ma libraire, j’ai déjà hâte de l’avoir entre les mains pour sa couverture qui a l’air juste sublime et puis surtout de le lire pour pouvoir retrouver tous les personnages, en savoir plus et passer des heures géniales de lecture.

Ma note 9/10

Journal intime d’un arbre – Didier Van Cauwelaert

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éditions Michel Lafon

Quatrième de couverture

Il s’appelait Tristan, il avait trois cents ans, il avait connu toute la gamme des passions humaines. Une tempête vient de l’abattre, et c’est une nouvelle vie qui commence pour lui.
Planté sous Louis XV, ce poirier nous entraîne à la poursuite du terrible secret de ses origines. Des guerres de religion à la Révolution française, de l’affaire Dreyfus à l’Occupation, il revit les drames et les bonheurs dont il a été le témoin, le symbole ou la cause.
Mais, s’il est prisonnier de sa mémoire, il n’en reste pas moins lié au présent, à travers ce qui reste de lui : des racines, des bûches, une statue de femme sculptée dans son bois, et les deux êtres qui ont commencé à s’aimer grâce à lui…
Comment « fonctionne » un arbre ? De quoi se compose sa conscience, de quelle manière agit-il sur son environnement ? Son récit posthume nous fait voir le monde, la nature et les hommes d’une manière nouvelle, par le biais d’une pensée végétale qui évolue au rythme d’un véritable suspense.
Captivant, drôle et poignant, Le Journal intime d’un arbre apporte une réponse inédite à une question universelle : quelle est, pour un arbre comme pour un être humain, la meilleure façon de ne pas mourir ?

Bio :
Prix Goncourt pour Un aller simple, DIDIER VAN CAUWELAERT a vendu plus de cinq millions de livres traduits dans une trentaine de langues. Après Hors de moi, adapté avec succès au cinéma sous le titre Sans identité (interprété par Liam Neeson et Diane Kruger), quatre autres de ses romans sont en train de devenir des films : L’Évangile de Jimmy, Attirances, Rencontre sous X et Les Témoins de la mariée. Il nous offre avec ce nouveau roman l’un de ses meilleurs livres et nous invite, à travers le regard d’un arbre, à penser la vie autrement.

 

Mon avis :

Un arbre raconte la vie de ceux et celles qui ont « croisé sa route ». L’idée est originale, c’est bien écris, je suis vite rentrée dans l’histoire. Le personnage principalTristan est très attachant et j’ai apprécié ce livre du début à la fin.

Tristan nous fait voyager dans le passé récent et lointain de sa vie peuplée en grande partie de tristesse, de drame, de malheur.

Il nous fait aussi partager son présent, ses rencontres et la vie de ceux et celles qu’il va suivre au fil des pages.

La grande Histoire croise l’histoire d’hommes et de femmes dont le destin arrive à surprendre le lecteur.

Ce livre donne une impression d’écriture toute en finesse, de densité dans ce qui est écris.

Pas un coup de coeur mais une très bonne lecture que je conseille vivement.

Lu dans le cadre de challenge3avec Chasse-Mouche