l’île – Michael Fenris

éditions FranceLoisirs Poche

367 pages

Quatrième de couverture

Infirmière des hôpitaux de Paris, Eve Cardelle reçoit un jour un courrier émanant d’un cabinet de notaires suisses. Son grand-oncle, personnage douteux qu’elle n’a jamais connu, lui lègue la totalité de sa fortune, ainsi qu’une île au milieu de la mer des Caraïbes. Mais à peine a-t-elle accepté l’héritage, qu’un mystérieux consortium se dresse en travers de sa route, prêt à tout, y compris au meurtre, pour obtenir les droits d’exploitation de ce bout de terre perdu. Quels secrets peuvent bien receler l’ile perdue d’Espirito dõ Tubarao et ses habitants qui semblent à l’abri des outrages du temps ?
Avec un style incisif et réaliste, l’auteur instaure un suspens haletant en jouant sur l’ambiguïté entre réel et fantastique, pour laisser libre cours à l’imagination du lecteur. La tension croît au fil des chapitres qui suivent alternativement Eve Cardelle et Adam, le tueur à gages.

Mon avis

Cette lecture est une déception, tout d’abord parce que je m’attendais à autre chose mais là c’est un peu ma faute. Je n’ai pas lu la quatrième de couverture et j’étais convaincu que le récit se déroulait dans une île au large de l’Ecosse par exemple, du moins dans cette partie du monde.

La seconde raison pour laquelle cette lecture m’a déçue est sans conteste l’accumulation de clichés mais aussi le fait que l’histoire n’a pas été crédible pour moi. Je n’ai rien aimé dans ce livre. C’est pas percutant, pas addictif, les personnages ne sont pas attanchant. Bien entendu il s’agit juste de mon ressenti personnel vis à vis de cette lecture.