Loup, y es-tu ? – Henri Courtade

Loup, Y Es-tu - Henri Courtade

éditions Folio SF

387 pages

Lu dans le cadre de challenge3sur le forum Livraddict en binôme avec Achille

 

Quatrième de couverture

Et si les êtres maléfiques des contes de notre enfance existaient réellement ?

Sans doute ces créatures vampiriseraient-elles notre planète. Elles seraient de tous les génocides, manipuleraient les plus grands dictateurs. Bref, tapies dans l’ombre d’Hitler ou sous le feu des projecteurs des plateaux télé, elles auraient entre leurs mains expertes le devenir de l’humanité.

Sinistre tableau !

Si de tels êtres vivaient, il serait à souhaiter que leur alter ego bienfaisant existe également. Qu’en ce début du XXIe siècle, ces personnages merveilleux s’éveillent et décident de se battre.

Et alors, qui sait de quel côté la balance pencherait…

Mon avis :
Après avoir entendu parler de ce livre en bien et même en très bien sur divers blogs et forums j’ai fini par l’acheter.
Il est resté un petit moment dans ma Pal et il en est sorti en ce beau mois d’avril dans le cadre du LPDA sur le forum Livraddict.
Il m’a fallu quelques pages pour bien rentrer dans le roman et ensuite ce fût un régal de lecture. J’y ai retrouvé un peu, l’ambiance de la série Once Upon a Time que j’avais énormément appréciée.
Je comprends maintenant l’engouement autour de ce roman. Le style est vif, l’écriture de l’auteur est hyper captivante tout comme l’intrigue. J’ai adoré le mélange de thriller, conte de fée et fantastique, c’est vraiment tout ce que j’aime réunis dans un même roman.
Donc voilà je l’ai enfin lu et j’en suis plus que ravie, je suis aussi ravie d’avoir découvert un auteur dont je continuerai à découvrir ses écrits.
Si vous ne connaissez pas encore cet auteur ni son premier roman car Loup, y es-tu? est son premier roman et qu’en plus vous êtes fan de la série Once Upon a Time ce roman est fait pour vous !

 

Le blog de l’auteur http://henricourtade.blogspot.fr/

L’ange sanglant – Claude Merle

sans-titre

Editions MA éditions

239 pages

Merci aux éditions MA_editionset à Mr Gilles Paris

Quatrième de couverture

Hollande, XVIe siècle. Dans la petite ville d’Hertogenbosch, une jeune fille est découverte morte, assassinée de la pire manière. Le bailli chargé de l’enquête ne tarde pas à découvrir qu’il s’agit de Katje, la servante de Jacob Dagmar, chirurgien et alchimiste. D’autres meurtres sont commis par celui que l’on surnomme désormais l’Ange sanglant. Ses mises en scène macabres semblent tout droit sorties des tableaux de Jérôme Bosch, peintre réputé et célébrité locale, dont les oeuvres énigmatiques fascinent et interrogent. Qui se cache derrière l’Ange sanglant, son imitateur démoniaque ? Jérôme Bosch lui-même ? L’un de ses ennemis envieux de son génie ? Ou bien encore Jacob Dagmar qui, en approchant de la vérité, va subir le vertige du mal ?

L’auteur

Claude Merle est né à Marseille. Après des études de lettres à l’université de Provence, il a exercé diverses professions dans l’enseignement, le journalisme et la communication. Cependant, la littérature est sa vraie vocation. Il est l’auteur d’une centaine de romans, en partie pour la jeunesse, d’essais historiques et de pièces de théâtre. Ses oeuvres sont traduites en huit langues.

 

Mon avis

L’ange sanglant est un livre que j’ai reçu dans le cadre d’une service presse et c’est la couverture qui m’a donné envie de le lire. Les tableaux de Jérôme Bosch sont diablement intrigant, fascinant et un thriller qui a pour fil conducteur un tableau du peintre ne pouvait que me plaire…et quel tableau !
Je ne connaissais pas cet auteur qui pourtant a une centaine de livre a son actif et ce livre est une belle découverte.

J’ai tout apprécié dans ce roman, le style de l’auteur, son écriture, l’ambiance du livre très noir, l’intrigue captivante et terrible. Dés le début du thriller le lecteur est plongé dans la Hollande du XVIe siècle et dans l’horreur qui s’abat dans la petite ville de Hertogenbosch.
L’auteur a parfaitement traduit en mots cette ambiance digne d’un excellent thrilleur. Le fait qu’il ne se déroule pas à notre époque rajoute énormément au récit, tout comme le fait de rencontrer Jérôme Bosch.
Au niveau des personnages je serai un peu moins enthousiaste, même si Jacob Dagmar apparaît sympathique (même si le mot n’est pas vraiment juste) j’ai eu du mal à m’attacher à un personnage. Mais au fond est-ce bien important ? L’essentiel est d’avoir adhéré à l’histoire.

Donc une très bonne lecture qui m’a fait bien peur par moment avec des scènes plutôt horribles que personnellement je n’aimerai pas voir en film !

A lire absolument pour les amateurs de thrillers, vous ne serez pas déçus !

 

 

Bosch Jardin des délices 1504

 

Un monde idéal où c’est la fin – J. Heska

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éditions Seconde Chance

182 pages

Pour en savoir plus sur les éditions Seconde Chance logosecondechance-blancsurnoir-100x100 et le projet Hermès

Le site de l’auteur http://www.jheska.fr/

 

Quatrième de couverture

Bienvenue dans un monde idéal !

Un monde idéal où la civilisation telle que nous la connaissons n’existe plus. Dérèglement du temps ? Avènement de la magie ? Crise climatique irréversible ? Épidémie mondiale de mort subite ? Extra-terrestres maladroits ? Invasion de poireaux découpeurs de cervelles ? Crise de déprime globale ? Robots hors de contrôle ? Zombies entreprenants ?

Découvrez 100 histoires drôles, émouvantes, tragiques ou absurdes qui mènent à notre perte !

Mais c’est quoi Un monde idéal ? C’est une collection de livres reposant sur un concept tout simple qui a fait le succès du site Internet http://www.jheska.fr : des textes courts et percutants relatant des histoires basées sur des « et si » ?

Un livre parfait pour un petit moment de détente égoïste, dans le bus, à la pause déjeuner, le soir avant de se coucher ou à la plage !

 

Mon avis

J’ai pu lire ce livre grâce au principe du livre voyageur. Lorsqu’on me l’a proposé j’ai accepté sans hésitation car je trouve l’idée très sympa. A priori je n’étais pas spécialement convaincu par le titre et  la couverture et je n’avais pas lu la quatrième de couverture histoire de garder la surprise !
En le recevant j’ai eu un peu peur en voyant toutes ces nouvelles et surtout le fais qu’elles soient assez courtes. Je me suis dis que je n’arriverais pas à accrocher à cette lecture.
Mais il n’en fût rien, non seulement j’ai très bien accroché à toutes ces nouvelles et de plus j’ai adoré cette lecture !
J’apprécie énormément l’anticipation alors là je me suis régalée, pour moi toutes ces nouvelles sont de l’anticipation.
Surprise, humour noir, humour tout court, émotion, drame et j’en passe rendent ce livre hyper captivant du début à la fin. J’aurais bien vu certaines nouvelles plus développées en roman, il y a des pépites dans ces 182 pages !
L’écriture de l’auteur fluide, percutante et il sait captiver le lecture sans aucun doute
Alors bien sûr étant donné mon enthousiasme pour cette lecture j’ai envie de découvrir les autres écrits de l’auteur, je suis fort curieuse de voir de quoi il en retourne !

Alex – Pierre Lemaitre

alex pierre lemaitre

396 pages

éditions Le Livre de Poche

Quatrième de couverture

Alex, une jeune femme de 35 ans, belle et attirante, essaie des perruques dans un magasin du boulevard de Strasbourg. Quelques heures plus tard, elle est enlevée par un inconnu qui la suivait, jetée dans une camionnette et séquestrée dans un hangar désaffecté. Le ravisseur a organisé sur place un théâtre de tortures qu’elle va subir jusqu’à l’horreur. Alex parvient à se libérer avant que la police ne la retrouve, et n’identifie son tortionnaire, suicidé sur le périphérique. Dès lors, l’énigme d’Alex et de son passé ne peut plus lâcher le lecteur, qui la découvre du point de vue de la victime et de ses bourreaux, jusqu’au terme d’une tragédie imprévisible et fatale. Il est impossible d’en dévoiler davantage sans déflorer une intrigue d’une intelligence et d’une construction diaboliques qui touchent à la perfection. L’écrivain se révèle dans le ton et le style du récit (d’une feinte impassibilité) à l’image du commandant Verhoeven, le flic qui élucide la tragédie d’Alex, d’une attachante complexité. Pierre Lemaître, qui déclare « je ne cherche à écrire que des livres qu’Hitchcock aurait voulu filmer », porte à son comble, sans le moindre artifice ni trucage, l’art du suspense et de la peur.

 

Mon avis :

Mon avis sera à l’image de ma lecture : court, très court.

J »ai lu environ 30 ou 40 pages. Je ne vais rien dévoiler du début du livre mais l’inconscience d’Alex me donne même pas envie de savoir ce qui va lui arriver et ce qu’elle va faire. De plus j’ai eu l’impression en survolant un peu le livre qu’il y avait des pages et des pages sur les états d’âme de celui qui mène l’enquête.

Donc voilà ma première grande déception avec l’auteur dont j’avais fortement apprécié Robe de marié et Cadres Noirs

« Lu » dans le cadre de challenge3

Maladie d’amour – Nathalie Rheims

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éditions Léo Scheer

294 pages

Merci aux éditions Léo Scheer et à Mr Gilles Paris

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Quatrième de couverture

Alice est une jolie jeune femme. Actrice, elle rêve de jouer Claudel, mais on ne lui propose que des rôles de potiche dans des pièces de boulevard. Sa vie amoureuse n’est guère plus brillante, faite d’aventures qui se terminent toujours mal. Elle raconte tout à Camille, sa confidente qui, de son côté, mène la vie calme et rangée d’une mère au foyer. Au moment où Alice décide enfin de renoncer à la passion, elle s’éprend d’un homme marié, le Dr Costes, qui aurait eu un coup de foudre pour elle.
Camille suit cette nouvelle histoire d’amour à la manière d’un feuilleton dont elle serait l’unique spectatrice, même si d’étranges contradictions apparaissent dans les confidences de son amie. Pour protéger Alice, Camille tente d’en savoir plus sur cet homme insaisissable. Cette démarche la fait progressivement basculer: elle se met à douter de tout, au risque de se perdre. Dans ce quinzième roman, Nathalie Rheims explore, utilisant l’art du suspens, l’infime frontière qui sépare l’amour fou de la folie.

 

Mon avis

Les deux livres de Nathalie Rheims que j’ai lus jusqu’à présent : Le rêve de Baltus et Le cercle de Megiddo, je les ai fortement apprécié. Il en est de même pour Maladie d’Amour.
L’écriture de l’auteur est plaisante, attrayante et captivante. Pas d’ennui ni de lassitude en lisant ce roman.  J’ai aimé le thème du livre : l’amour qui peut aller jusqu’à la folie.
Le lecteur comprend avant Camille et son entourage que Alice a un très gros problème mental.
Alice apparaît manipulatrice, affabulatrice, au fil des pages sa folie amoureuse croît et prend une tournure de non retour pour elle.
Lorsqu’on se rend compte  jusqu’où elle va certainement aller on ne peut que la plaindre et se demander comment la vie sera pour elle après. Que deviendra-t-elle ? J’avoue avoir laissé ce personnage avec un peu de peine contrairement à Camille qui au final est agaçante.

Donc un bonne lecture et si vous ne connaissez pas les romans de Nathalie Rheims je vous incite fortement à les lire.

Le site officiel de Nathalie Rheims

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