Frappe-toi le coeur – Amélie Nothomb

éditions Albin Michel

168 pages

Quatrième de couverture

« Frappe-toi le coeur, c’est là qu’est le génie » Alfred de Musset

Mon avis

Un très bon roman d’Amélie qui m’a énormément parlé sur le plan personnel. Comme à chaque fois j’ai aimé l’écriture, le style, les personnage et l’histoire bien évidemment. Un coup de coeur.

Rebecca Kean 1 – Traquée – Cassandra O’Donnel

éditions J’ai lu

473 pages

Quatrième de couverture

Burlington…Nouvelle-Angleterre. Pas de délinquance, élue la ville la plus paisible des États unis, bref un petit havre de paix pour une sorcière condamnée à mort et bien décidée à vivre discrètement et clandestinement, parmi les humains. Malheureusement, en arrivant ici, je me suis vite aperçue que la réalité était tout autre et qu’il y avait plus de démons, de vampires, de loups garous et autres prédateurs ici que partout ailleurs dans ce foutu pays. Mais ça, évidemment, ce n’est pas le genre de renseignements fournis par l’office de tourisme. Maudit soit-il…

Mon avis

J’ai lu ce livre pour la simple et unique raison que l’autrice devait être présente au Salon entre les mondes (première édition) qui a eu lieu dans ma ville fin septembre (voir l’affiche dessous mon avis). A priori à voir la couverture ce n’est pas trop mon genre mais je l’avais quand même commandé au Père Noël. Donc j’avais effectivement un petit à priori mais qui a été vite balayé lorsque j’ai commencé ma lecture.

J’ai adoré ce premier tome et oui j’ai rencontré Cassandra O’Donnel au Salon entre les Mondes, elle est adorable, pleine d’humour et bien sûr beaucoup de talent.

J’apprécie énormément Rebecca, une héroïne, une vraie, qui ne fait pas dans les « nia-nia » qui n’hésite pas à agir. J’ai adoré toutes les créatures présentes dans le livre. J’ai accroché dès le début avec un petit faible pour Raphaël et les loups. Je me réjouis par avance de savoir qu’il me reste encore 5 tome à lire et un 7ème qui n’est pas encore sorti.

J’ai le tome 2 dans ma PAL et je pense le lire assez rapidement. Voilà je suis ravie d’avoir découvert cette saga et absolument enchantée par ma lecture.

Quand on a que l’amour – Amélie Antoine

Editions Michel Lafon

420 pages

Quatrième de couverture

C’est l’histoire d’un humoriste en pleine gloire, adulé de tous, mais qui pense ne pas le mériter.
Un homme que tout le monde envie et admire, mais que personne ne connaît vraiment.
Un homme blessé qui s’est accroché au rire comme on se cramponne à une bouée de sauvetage.
C’est aussi l’histoire d’un garçon qui aurait voulu un père plus présent.
Un garçon qui a grandi dans l’attente et l’incompréhension.
Un garçon qui a laissé la colère et le ressentiment le dévorer.

C’est une histoire de paillettes et de célébrité, mais, surtout, l’histoire d’un père et d’un fils à qui il aura fallu plus d’une vie pour se trouver.

Mon avis

Premier livre de cette autrice et une belle découverte. J’ai apprécié son écriture. J’ai énormément aimé le lien pour passer d’un chapitre à l’autre, une belle liaison. J’ai préféré le Edouard de la première partie, même s’il a vécu des choses difficiles je n’arrive pas à excuser ou du moins à comprendre  la manière dont il a agit avec son fils. Une histoire belle, touchante et je dirai vrai. Ce livre est une histoire de d’un père et de son fils mais d’une façon plus général une histoire d’Être humain avec leurs failles, leurs faiblesses et leurs erreurs.

Une très bonne lecture, je vous incite vraiment à lire ce livre.

Je remercie l’auteur pour la dédicace et le forum L’île aux livres.

 

Les Emmurés – Serge Brussolo

éditions Le livre de poche

285 pages

 

Quatrième de couverture

A l’origine, la mission de Jeanne était simple : s’installer quelque temps dans un immeuble où furent commis, des années plus tôt, plusieurs crimes inexpliqués, afin d’y écrire un reportage, si possible sensationnel…

Mais aussitôt franchi le seuil de l’étrange maison Malestrazza, la jeune femme va deviner que les maléfices ne sont pas uniquement dus aux fantasmes du voisinage. Est-il vrai que l’assassin habiterait toujours là, caché dans un appartement secret ? Y a-t-il, comme on le prétend, des cadavres emmurés aux différents étages ? Et que lui veut au juste le fils de la concierge, ce gamin trop imaginatif, qui spontanément s’offre à lui faire découvrir les arcanes de la bâtisse ?

L’auteur du Sourire noir et des Prisonnières de Pharaon est rarement allé aussi loin dans l’épouvante, à la frontière indécise entre le réel et le cauchemar.

Mon avis

J’ai trouvé ce livre dérangeant, malsain, angoissant et opressant. Je n’ai pas vraiment aimé l’histoire, ni l’écriture et surtout la fin du livre.

La servante écarlate – Margaret Atwood

éditions Robert Laffont – Pavillons Poche

521 pages

Quatrième de couverture

Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d’esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, « servante écarlate » parmi d’autres, à qui l’on a ôté jusqu’à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l’austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler…  Devenu un classique de la littérature anglophone, ce roman, qui n’est pas sans évoquer le 1984 de George Orwell, décrit un quotidien glaçant qui n’a jamais semblé aussi proche, nous rappelant combien fragiles sont nos libertés. La série adaptée de ce chef-d’oeuvre de Margaret Atwood, avec Elisabeth Moss dans le rôle principal, a été unanimement saluée par la critique. « Les meilleurs récits dystopiques sont universels et intemporels. Écrit il y a plus de trente ans, La Servante écarlate éclaire d’une lumière terrifiante l’Amérique contemporaine.
Mon avis :

A force d’entendre parler de ce livre en bien j’ai eu très envie de le lire, et d’autant plus que j’avais lu qu’il était dans la même veine que « 1984 » de George Orwell que j’avais énormément aimé.

Et je n’ai pas été déçue tant par la qualité d’écriture de l’autrice que par l’histoire en elle-même ! Ce roman dystopique et j’adore ce genre littéraire a été une excellente lecture, le genre de livre qui ne se lit pas vite et dans lequel on arrive à s’immerger totalement.

Cette histoire est effrayante de réalisme parce qu’on se dit que tout est possible malheureusement. Les choses peuvent aller très vite et tout un peuple, un pays peu sombrer  comme a sombré la vie de Defred.

Le pour quoi et le comment nous est distillé au fil des pages, par petit morceau, c’est passionnant et effrayant comme je l’ai déjà dis. J’ai eu pas mal de peine de quitté ce livre.

C’est une lecture très forte, une lecture inoubliable. Un chef d’œuvre du genre à lire absolument.