éditions du Matagot
288 pages
Quatrième de couverture
Une autre France où les diligences aériennes bourdonnent entre les châteaux volants, où on se bat, entre gentilshommes, à coups de rapières énergétiques et de pistolets à lumière… Sur un galion des cieux en partance pour la Versailles Céleste, la nouvelle résidence du Roy, loin au-dessus de la terre, une jeune voleuse du nom d’Estella va faire la connaissance de Charles de Batz Castelmore, capitaine des mousquetaires, plus connu sous le nom de… » D’Artagnan « . Poursuivit par les mécanomates du Cardinal de Richelieu, le vétéran se sacrifiera pour sauver la belle et lui confier une bague… Sur terre, à l’instant même de sa mort, s’éveille un jeune gascon de vingt ans qui, l’âge mis à part, lui ressemble trait pour trait. Il est » Le Simulacre « , le double du d’Artagnan originel, qui va devoir retrouver Estella, affronter ses anciens adversaires et de nouveaux, non moins redoutables, rallier ses compagnons, et, une fois encore, sauver le royaume et peut être bien le monde…
Mon avis
L’univers crée par Jean-Luc Marcastel est une riche idée mais pas assez exploitée à mon goût au détriment du côté épique. Trop de combats à deux, trois ou plus qui durent des pages et c’est le genre de chose qui m’ennuie profondément dans un livre.
Le Simulacre est certainement très bien mais le côté épique prends vraiment trop de place pour que j’apprécie, donc pas de tome 2 pour moi.
EDIT du 27 février : avec le recul j’ai finalement envie de lire le tome 2 de Simulacre 🙂