Somb – Max Monnehay

éditions du Seuil – 304 pages

Quatrième de couverture

Victor Caranne est psychologue en milieu carcéral. Chaque jour il emprunte à moto le long pont qui relie le continent à l’île de Ré pour rejoindre la Citadelle, fortification reconvertie en prison. Chaque jour il écoute des détenus lui confier leurs fantasmes les plus abjects, leurs crimes les plus atroces. Ils n’ont rien à craindre: les menottes de Caranne se nomment secret professionnel. La découverte d’un corps, sur la grève d’une plage proche de sa villa, va soudain bouleverser sa vie. C’est, pour lui, une perte immense. Caranne va devoir replonger dans un passé qu’il faisait tout pour oublier. Et les certitudes qu’il avait sur sa vie vont, une à une, s’effondrer.

Mon avis

Je suis partagée entre « c’est une très bonne lecture » et « mouais je m’attendais à autre chose » mais justement je ne sais pas à quoi je m’attendais. De cette autrice j’avais lu et énormément aimé Corpus Christine et Géographie de la bêtise, deux romans plutôt originaux et sortant des sentiers battus. Et justement voilà le hic, avec Somb nous sommes dans un polar « normal/basique » et je préfère les thrillers qui tiennent en haleine du début à la fin, certes le final rattrape un peu la « banalité » du reste du livre mais je trouve que ça arrive tard et pour moi il manque quelque chose. Les descriptions physique de certains personnages sont assez choquantes je trouve, sur la calvitie, le poids, en fait ce sont des descriptions dites par Victor Caranne, personnage principal que l’on retrouve sans un second polar et dans un troisième pas encore paru. Et clairement je n’apprécie pas trop ce personnage, je le trouve parfois agaçant, un peu imbu de sa personne et pas de charisme.

Je suis vraiment très partagée sur mon ressenti, j’ai quand même passé un bon moment de lecture, j’ai aimé l’écriture de l’autrice, je lirais « la suite » si je trouve le livre en médiathèque où dans une boite à livres .

La chronique des Bridgerton T2 – Julia Quinn

éditions FranceLoisirs – 375 pages

Quatrième de couverture

Les Bridgerton sont stupéfaits : le vicomte Anthony veut se marier !

Et il sait ce qu’il veut : une femme dont il ne risque pas de tomber amoureux, car l’amour est secondaire dans le couple.

Edwina Sheffield est la reine de la saison, c’est donc elle qu’il épousera.

Sauf que la sœur de la demoiselle, Kate, oppose son veto : un débauché comme Anthony n’est pas un parti convenable pour Edwina. Ce dernier est offensé. Lui, le célibataire le plus convoité de Londres, indésirable ?

Il compte bien prouver à Kate qu’il est irrésistible !

Mon avis

Une très bonne lecture, je connaissais l’histoire car j’ai d’abord regardé la saison 2 sur Netflix et j’aime beaucoup. Comme la série est très différente (c’est le moins que l’on puisse dire!) hormis le fait que la fin est la même j’ai eu l’impression de lire (presque) une histoire différente et du coup je n’ai pas eu le reflex « comparaison » lors de ma lecture. Il va sans dire que j’ai eu du mal à imaginer Edwina en blonde aux yeux bleus, elle et Miss Sharma sont pour moi celles que j’ai vu dans la série.

Donc maintenant j’aurais voulu acheter le tome 3 mais voilà, FranceLoisirs ne vend plus cette édition et j’aurais voulu continuer dans la même collection. D’un côté vu que je ne veux plus faire partie de Franceloisirs n’ayant plus de boutique dans ma ville ça tome bien finalement.

Changer l’eau des fleurs – Valérie Perrin

éditions Le livre de poche – 672 pages

Quatrième de couverture

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se confier et se réchauffer dans sa loge. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle forme une famille décalée. Mais quels événements ont mené Violette dans cet univers où le tragique et le cocasse s’entremêlent ?

Mon avis

Une bonne lecture mais sans plus. J’ai trouvé ce livre assez déprimant, destins et vie brisés, protagonistes qui passent à côté de leur vie, quelques longueurs notamment en ce qui concerne Irène et Gabriel. Le tout sur 672 pages ce fût trop pour moi et j’avais hâte de le finir.