La maison des damnés – Richard Matheson

Editions J’ai lu – 351 pages

Quatrième de couverture

Passer une semaine dans une maison réputée hantée depuis trente ans : telle est la mission confiée au Dr Barrett et à une équipe de spirites par un milliardaire mourant, qui s’intéresse de près à la survie de l’âme. Mission que le parapsychologue s’empresse d’accepter, y voyant là l’occasion de triompher des « maléfices » et de vérifier ses théories scientifiques sur l’existence d’une vie après la mort. Arrivés sur place, les investigateurs se rendent compte que le lieu est à la hauteur de sa réputation : résonnant des crimes et des orgies qu’elle a accueillis par le passé, la maison Belasco semblait n’attendre qu’eux.

Mon avis

J’ai acheté ce livre principalement pour le Pumpkin Autumn Challenge et la période d’Halloween . Pas d’erreur il rentre parfaitement dans le thème. Livre lu dans le cadre du LDPA sur Livraddict, choisi par ma binôme De livres en lectures. Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé, mais je ne peux pas dire non plus que j’ai aimé. On va dire que j’ai réussi à le finir pour connaître le fin mot de l’histoire , l’intrigue est assez captivante mais je n’ai pas été très convaincu par le dénouement;

Sur Livraddict ce livre est classé dans le genre « fantastique », personnellement je le classerais plutôt en « horreur ». Je déteste les films d’horreur mais ça « passe » mieux avec les romans. Ceci dit ça reste le genre littéraire que je lis le moins. Les faits horribles, répugnants, dégoutants et j’en passe m’empêche d’avoir un quelconque attachements envers les personnages. Donc ce livre « fait son travail » en tant que roman d’horreur, c’est bien écrit mais j’ai eu du mal avec tout les passages de « possession ».

Cendres – Johanna Marines

éditions SNAG – 404 pages

Quatrième de couverture

Londres, 1888. Nathaniel et Luna vivent dans un quartier mal famé de l’East-End. Pour survivre, ils sont obligés de revendre les objets qu’ils ont volés.
Au même moment, à Westminster, Agathe accepte de devenir la domestique de la famille Henwoorth. Leur destin va basculer le jour où Nathaniel va découvrir un cadavre.
Agathe, une jeune femme plutôt naïve prête à tout pour payer les médicaments de sa mère malade. Celle-ci va être embauchée comme parurière chez les Henwoorth. Mais, rapidement, le fils ainé de la famille, Archibald, se montre étrange… Qu’attend-il vraiment d’elle ? Et si un tout autre destin l’attendait ?
Nathaniel Depford, un jeune homme de 27 ans, qui travaille comme allumeur de réverbères dans la vieille ville. Orphelin, il ne sait presque rien de ses origines. Mais, quand celle qu’il considère comme sa sœur, Luna, disparaît et que d’étranges cauchemars refont surface, son monde fragile vacille… Réussira-t-il à retrouver Luna avec l’aide de la police ? Ou devra-t-il faire chemin seul pour comprendre les forces obscures qui tirent les ficelles en coulisse ? Et si son passé le rattrapait ?

Mon avis

Lecture dans le cadre du LDPA 40 sur Livraddict en binôme avec « De livres en lectures »

Cendres est le premier roman de Johanna Marines que je lit. Je l’ai acheté en 2022 au Salon entre les Mondes organisé par Jean-Luc Marcastel à Aurillac dans le Cantal. Une belle rencontre avec cette autrice et une très belle découverte littéraire. Grâce au LDPA j’ai pu sortir ce livre de ma Pal.

Ce fût donc une très bonne lecture, un roman très bien écrit, des personnages intéressants et attachants, une intrigue prenante. Ce livre est un mélange de thriller, d’uchronie et de steampunk.

Le fait qu’il y ait une carte de Londres est un grand plus que j’ai beaucoup apprécié, cela permet de s’immerger encore plus dans le roman.

J’ai bien l’intention de continuer à lire cette autrice.

Somb – Max Monnehay

éditions du Seuil – 304 pages

Quatrième de couverture

Victor Caranne est psychologue en milieu carcéral. Chaque jour il emprunte à moto le long pont qui relie le continent à l’île de Ré pour rejoindre la Citadelle, fortification reconvertie en prison. Chaque jour il écoute des détenus lui confier leurs fantasmes les plus abjects, leurs crimes les plus atroces. Ils n’ont rien à craindre: les menottes de Caranne se nomment secret professionnel. La découverte d’un corps, sur la grève d’une plage proche de sa villa, va soudain bouleverser sa vie. C’est, pour lui, une perte immense. Caranne va devoir replonger dans un passé qu’il faisait tout pour oublier. Et les certitudes qu’il avait sur sa vie vont, une à une, s’effondrer.

Mon avis

Je suis partagée entre « c’est une très bonne lecture » et « mouais je m’attendais à autre chose » mais justement je ne sais pas à quoi je m’attendais. De cette autrice j’avais lu et énormément aimé Corpus Christine et Géographie de la bêtise, deux romans plutôt originaux et sortant des sentiers battus. Et justement voilà le hic, avec Somb nous sommes dans un polar « normal/basique » et je préfère les thrillers qui tiennent en haleine du début à la fin, certes le final rattrape un peu la « banalité » du reste du livre mais je trouve que ça arrive tard et pour moi il manque quelque chose. Les descriptions physique de certains personnages sont assez choquantes je trouve, sur la calvitie, le poids, en fait ce sont des descriptions dites par Victor Caranne, personnage principal que l’on retrouve sans un second polar et dans un troisième pas encore paru. Et clairement je n’apprécie pas trop ce personnage, je le trouve parfois agaçant, un peu imbu de sa personne et pas de charisme.

Je suis vraiment très partagée sur mon ressenti, j’ai quand même passé un bon moment de lecture, j’ai aimé l’écriture de l’autrice, je lirais « la suite » si je trouve le livre en médiathèque où dans une boite à livres .

Les suprêmes – Edward Kelsey Moore

éditions Acte Su

316 pages

Quatrième de couverture

Elles se sont rencontrées dans les années 1960 et ne se sont plus jamais quittées : tout le monde les appelle « les Suprêmes », en hommage au célèbre groupe des années 1970. Complices dans le bonheur comme dans l’adversité, ces trois irrésistibles « quinquas » afro-américaines aussi puissantes que fragiles ont fait d’un des restaurants de leur petite ville de l’Indiana longtemps marquée par la ségrégation leur quartier général où, tous les dimanches, entre commérages et confidences, rire et larmes, elles élaborent leurs stratégies de survie et se gavent de poulet frit.
Rendez-vous avec vos futures meilleures amies…

Mon avis

Avis très négatif sur ce livre, cette lecture est une déception, il y a beaucoup de chose que je n’ai pas aimé dans ce livre, je n’ai pas réussi à adhérer à l’histoire, ni à m’attacher à un personnage en particulier. J’ai eu du mal dans le fait que l’on passe d’une époque à une autre sans préambule, j’ai eu du mal et je n’ai pas aimé le fait que Odette passe une majeur partie de son temps à discuter avec des morts qu’elle voit et entends. Ce n’est pas le fait de parler avec des morts qui m’a gêné mais je trouve que ça n’avait rien à faire dans ce roman, et de plus les dialogues n’apportent rien à part de l’ennuie au lecteur, ou du moins à moi ! Tout ceci est bien sûr mon ressenti personnel !

Bref du coup cette présence excessive de la mort, parce que oui en plus il y a des décès, fait un peu oublier le côté historique du roman qui passe au second plan, en l’occurrence la ségrégation raciale et c’est bien dommage.

Je n’ai pas du tout apprécié ce roman et je ne lirai pas la suite. Il s’agit d’un emprunt médiathèque et de ce fait je n’ai pas le regret de l’avoir acheté !

Après toi – Jojo Moyes

éditions Milady

445 pages

Quatrième de couverture

Un an et demi après avoir exaucé le vœu de Will, qui souhaitait bénéficier du suicide assisté, Lou quitte sa ville natale où elle est la cible de critiques. Elle commence une nouvelle vie à Londres, mais elle a du mal à se conformer aux dernières volontés de Will qui lui recommandait de profiter de la vie.

Mon avis

J’ai énormément le livre Avant toi, ainsi que le film, donc tout naturellement j’ai eu envie de lire la suite. J’avoue que je m’attendais à autre chose cependant j’ai beaucoup aimé ce livre quand même, une belle histoire, une belle écriture. Je lirai la suite dans les mois qui viennent

Retour à Whitechapel – Michel Moatti

éditions 10/18
413 pages

Quatrième de couverture

Le 24 septembre 1941, pendant le Blitz qui écrase Londres sous des tonnes de bombes, Amelia Pritlowe, infirmière du London Hospital, apprend la mort de son père. Celui-ci lui a laissé une lettre posthume lui révélant que sa mère n’est pas morte d’une maladie pulmonaire, comme l’histoire familiale le prétend ; Mary Jane Kelly a été la dernière victime de Jack L’Éventreur. Amelia Pritlowe avait 2 ans. À compter de ce jour, Mrs Pritlowe va se lancer dans une traque méticuleuse et acharnée, poussée par le besoin vital de découvrir la véritable identité de Jack L’Éventreur. Grâce aux archives d’une pittoresque société savante de riperristes, en confrontant témoins et survivants, elle va reconstruire dans ses carnets les dernières semaines de sa mère et la sanglante carrière de l’Éventreur. En décryptant des documents d’époque, Michel Moatti recompose l’atmosphère nocturne et angoissante de l’East End du XIXe siècle. En redonnant vie aux victimes, en recomposant leurs personnalités sociales et affectives, il propose une solution à l’énigme posée en 1888 : qui était Jack L’Éventreur ?Maître de conférences à l’université de Montpellier, Michel Moatti enseigne le journalisme et la communication. Journaliste pendant seize ans, en particulier comme correspondant pour l’agence britannique Reuter’s, il a vécu à Londres au début des années 1990.

Mon avis

J’attendais beaucoup de ce roman et je suis quelque peu déçue. Il y a trop de longeurs, l’enquête est peu captivante, je me suis ennuyée.

Ce que j’ai assez apprécié dans ce roman c’est le côté historique : la pauvreté à l’époque Victorienne et les bombardements sur Londres durant la seconde guerre mondiale.

J’ai un second livre de cet auteur dans ma Pal, j’espère qu’il sera mieux !!!!

Embruns – Louise Mey

éditions Pocket
357 pages

Quatrième de couverture

Ils sont beaux, sportifs, complices. Mangent local. Achètent cher, mais pour durer. Un bon goût à toute épreuve. Monsieur et Madame Parfait et leurs enfants. Quand les Moreau prennent possession, pour le week-end, d’une belle maison bretonne, sur cette île perdue en forme de haricot, tout annonce des vacances idéales. C’était compter sans la tempête, la disparition de Marion, le sang sur le couteau… Et l’étrange collaboration des habitants, pour lesquels  » les Parisiens  » font par-dessus tout un gibier parfait…

Mon avis

Excellente lecture, j’ai eu une idée de quoi il en seraitassez rapidement mais là l’autrice m’a bien bluffé ! c’était bien pire que ce que je croyais. Au fil des pages l’auteur nous retourne comme une crêpe, nos certitudes partent en éclats. Un excellent thriller et angoissant à souhait.

La guerre des peluches – Fatiha MESSALI et Johanna CRAINMARK

Editions Les rêves d’Ily –LES RÊVES D’ILY

Auteure: Fatiha MESSALI
Illustratrice : Johanna CRAINMARK
ISBN : 978-2-491012-02-1
Caractéristiques : L 14,8 cm x H 21 cm x Ep 0,8 cm – 36 pages – Cartonné
Prix Public : 9,90 € TTC

Quatrième de couverture

Quand elle s’engouffre dans le vortex magique pour le monde des peluches, Okel n’imaginait pas s’engager dans une aventure qui la conduirait à sauver le monde des peluches des griffes de l’extraterrestre Frisbi. Elle aura pour mission de rechercher le seul magicien capable de rivaliser avec les pouvoirs de Frisbi. 

Mon avis

Une belle aventure pour sauver les peluches. On retrouve Okel dans La Guerre des Peluches. Tout comme dans La Princesse Tralala et la Sorcière Pas-de-Bol l’histoire et sympathique, captivante pour les enfants. Les couleurs vives s’accordent parfaitement avec l’histoire.

Un livre de qualité.

Princesse Tralala et la sorcière pas-de-bol – Fatiha MESSALI et Johanna CRAINMARKISBN

Editions Les rêves d’Ily – LES RÊVES D’ILY

Auteure : Fatiha MESSALI
Illustratrice : Johanna CRAINMARKISBN : 978-2-491012-01-4Caractéristiques : L 14,8 cm x H 21 cm x Ep 0,8 cm – 36 pages – CartonnéPrix Public : 9,90 € TTC

LES MONDES MAGIQUES D’OKEL
Okel est une petite fille qui vit des aventures extraordinaires en voyageant dans les univers magiques et féeriques de ses jouets. Il s’agit évidemment d’une allégorie retranscrivant la place qu’occupe le jeu dans la vie de l’enfant.

Quatrième de couverture
TOME 1 – PRINCESSE TRALALA ET LA SORCIÈRE PAS-DE-BOL

Lorsqu’elle se rend dans le royaume de la princesse Tralala en passant par le vortex magique, Okel ne s’attendait certainement pas à vivre une aventure pleine de rebondissements. Dans le monde de la princesse Tralala, la magie règne en maître et il n’est pas rare de croiser une sorcière au détour d’un chemin mais une sorcière comme la pauvre Pas-de-Bol, on n’en rencontre pas tous les jours !

Mon avis

Très joli livre, assez girly si je puis dire, en tant qu’adulte j’ai énormément aimé et les enfants a qui je les montré et lu 6 ans, 7 ans et 9 ans l’on fortement apprécié. Un univers très coloré, une histoire très sympathique et joliment illustré et colorisé. La couverture et les pages sont de qualité et de plus il est imprimé en France.

Un goût de cannelle et d’espoir – Sarah McCoy

Editiond Pocket

508 pages

Quatrième de couverture

Allemagne, 1944. Malgré les restrictions, les pâtisseries fument à la boulangerie Schmidt. Entre ses parents patriotes, sa sœur volontaire au Lebensborn et son prétendant haut placé dans l’armée nazie, la jeune Elsie, 16 ans, vit de cannelle et d’insouciance.

 

Mon avis :

Une très bonne lecture qui aurait pu être un coup de coeur s’il n’y avait pas eu les chapitres avec Reba et Riki, en fait j’aurais préféré qu’il n’y ait pas les chapitres se passant à 2007 en alternance avec ceux de la seconde guerre mondiale. J’aurais largement préféré un long roman sur Elsie sur une période de la guerre jusqu’en 2007.

 

Challenge organisé sur Livraddict par Kyra, ma binômette Ilonaisreading

 

 

CHALLENGE