
316 pages
Quatrième de couverture
Elles se sont rencontrées dans les années 1960 et ne se sont plus jamais quittées : tout le monde les appelle « les Suprêmes », en hommage au célèbre groupe des années 1970. Complices dans le bonheur comme dans l’adversité, ces trois irrésistibles « quinquas » afro-américaines aussi puissantes que fragiles ont fait d’un des restaurants de leur petite ville de l’Indiana longtemps marquée par la ségrégation leur quartier général où, tous les dimanches, entre commérages et confidences, rire et larmes, elles élaborent leurs stratégies de survie et se gavent de poulet frit.
Rendez-vous avec vos futures meilleures amies…
Mon avis
Avis très négatif sur ce livre, cette lecture est une déception, il y a beaucoup de chose que je n’ai pas aimé dans ce livre, je n’ai pas réussi à adhérer à l’histoire, ni à m’attacher à un personnage en particulier. J’ai eu du mal dans le fait que l’on passe d’une époque à une autre sans préambule, j’ai eu du mal et je n’ai pas aimé le fait que Odette passe une majeur partie de son temps à discuter avec des morts qu’elle voit et entends. Ce n’est pas le fait de parler avec des morts qui m’a gêné mais je trouve que ça n’avait rien à faire dans ce roman, et de plus les dialogues n’apportent rien à part de l’ennuie au lecteur, ou du moins à moi ! Tout ceci est bien sûr mon ressenti personnel !
Bref du coup cette présence excessive de la mort, parce que oui en plus il y a des décès, fait un peu oublier le côté historique du roman qui passe au second plan, en l’occurrence la ségrégation raciale et c’est bien dommage.
Je n’ai pas du tout apprécié ce roman et je ne lirai pas la suite. Il s’agit d’un emprunt médiathèque et de ce fait je n’ai pas le regret de l’avoir acheté !