Tag bilan annuel proposé par Séverine Lenté du groupe Ilestbiencelivre

1) Combien de livre lus cette année? 35 livres

2) Quel genre as-tu le plus lu? contemporain

3) Meilleures lectures ? Miniaturiste de Jessie Burton – Satan était un ange de Karine Giebel- Le cri de Nicolas Beuglet- les sept soeurs t1 et t3 Lucinda Riley- A la grâce des hommes de Hannah Kent

4) Tes pires lectures? Le piège de la belle au bois dormant de M. Higgins Clark- retour à Whitechapel de Michel Moatti- L’arbre de noël de Michel Bataille- rebecca kean T3 de Cassandra O’Donnel – L’homme invisible de H.G. Wells

5) La bonne surprise : Grisha T1 de Leigh Bardugo

6) LA déception : Inaccessible T2 de Khatarina McGee, j’avais adoré le T1 et là énorme déception

7) Premier et dernier livre de l’année ? le premier Histoire éternelle de Liz Brazwell et le dernier Un noël sur la Tamise de Anne Perry

8 ) Le tout dernier arrivé dans ma Pal : Un jour mon prince viendra de Jen Calonita et Oser ses rêves de Elizbeth Lim

9) Un roman qui aura vraiment marqué ta vie de lecteur cette année : A la grâce des hommes de Hannah Kent

10) Un moment qui a marqué ta vie de lecteur. Le Seigneur des Anneaux de J.R.R Tolkien

11) Le roman que tu attends le plus en 2021? le nouveau Amélie Nothomb

12) Des résolutions? des choses que tu ne veux plus faire l’année prochaine ? lire plus, lire plus de classiques et finir des sagas

LECTURES 2020

  1. Histoire éternelle – Liz Braswell
  2. Le château de ma mère – Marcel Pagnol
  3. La terre Chinoise – Pearl Buck
  4. Descendant – Rico Green
  5. Je ne suis pas seul à être seul – J.L Fournier
  6. Satan était un ange – Karine Giebel
  7. Le pièce de la Belle au bois Dormant – Mary Higgins Clark
  8. D’une hiver à l’autre – Jean-Pierre Leclerc
  9. Retour à Whitechapel Michel Moatti
  10. L’institut – Stephen King
  11. Miniaturiste – Jessie Burton
  12. Metro 2033 – Dmitri Gloukhouski
  13. Le cri – Nicolas Beuglet
  14. L’arbre de Noël – Michel Bataille
  15. Le sorceleur tome 1 – Andrzej Sapkowski
  16. Le sorceleur tome 2 – Andrzej Sapkowski
  17. Les sept soeurs tome 1 – Lucinda Riley
  18. Les sept soeurs tome 3 – Lucinda Riley
  19. Inaccessible tome 2 – Khatarina Mc Gee
  20. Les testaments – Margarett Artwood
  21. Inconnu à cette adresse – Kressman Taylor
  22. L’ombre des patriarches – Pierre Pouchairet
  23. A la grâce des hommes – Hannah Kent
  24. L’homme invisible – H.G. Wells
  25. Les aérostats – Amélie Nothomb
  26. 13 à table – collectif
  27. Un (e) secte – Maxime Chattam
  28. Mort imminente – Peter James
  29. La charette bleue – René Barjavel
  30. Belgravia – Julian Fellowes
  31. Rebecca Kean tome 3 – Cassandra O’Donnel
  32. Les illusions de Sav-Loar – Manon Fargetton
  33. Grisha tome 1 – Leigh Bardugo
  34. Une seconde avant Noël – Romain Sardou
  35. Un Noël sur la Tamise – Anne Perry

Retour à Whitechapel – Michel Moatti

éditions 10/18
413 pages

Quatrième de couverture

Le 24 septembre 1941, pendant le Blitz qui écrase Londres sous des tonnes de bombes, Amelia Pritlowe, infirmière du London Hospital, apprend la mort de son père. Celui-ci lui a laissé une lettre posthume lui révélant que sa mère n’est pas morte d’une maladie pulmonaire, comme l’histoire familiale le prétend ; Mary Jane Kelly a été la dernière victime de Jack L’Éventreur. Amelia Pritlowe avait 2 ans. À compter de ce jour, Mrs Pritlowe va se lancer dans une traque méticuleuse et acharnée, poussée par le besoin vital de découvrir la véritable identité de Jack L’Éventreur. Grâce aux archives d’une pittoresque société savante de riperristes, en confrontant témoins et survivants, elle va reconstruire dans ses carnets les dernières semaines de sa mère et la sanglante carrière de l’Éventreur. En décryptant des documents d’époque, Michel Moatti recompose l’atmosphère nocturne et angoissante de l’East End du XIXe siècle. En redonnant vie aux victimes, en recomposant leurs personnalités sociales et affectives, il propose une solution à l’énigme posée en 1888 : qui était Jack L’Éventreur ?Maître de conférences à l’université de Montpellier, Michel Moatti enseigne le journalisme et la communication. Journaliste pendant seize ans, en particulier comme correspondant pour l’agence britannique Reuter’s, il a vécu à Londres au début des années 1990.

Mon avis

J’attendais beaucoup de ce roman et je suis quelque peu déçue. Il y a trop de longeurs, l’enquête est peu captivante, je me suis ennuyée.

Ce que j’ai assez apprécié dans ce roman c’est le côté historique : la pauvreté à l’époque Victorienne et les bombardements sur Londres durant la seconde guerre mondiale.

J’ai un second livre de cet auteur dans ma Pal, j’espère qu’il sera mieux !!!!

Satan était un ange – Karine Giebel

éditions Pocket
376 pages

Quatrième de couverture
Deux trajectoires, deux lignes de fuite.
Hier encore, François était quelqu’un. Un homme qu’on regardait avec admiration, avec envie. Aujourd’hui, il n’est plus qu’un fugitif tentant d’échapper à son assassin. Qui le rattrapera, où qu’il aille. Quoi qu’il fasse.
Paul regarde derrière lui ; il voit la cohorte des victimes qui hurlent vengeance. Il paye le prix de ses fautes. L’échéance approche…
Dans la même voiture, sur une même route, deux hommes que tout semble opposer, et qui pourtant fuient ensemble leur destin différent. Rouler droit devant. Faire ce qu’ils n’ont jamais fait.
Puisque l’horizon est bouché, autant tenter une dernière percée. Flamboyante.

Mon avis

Excellent thriller. Tout est là pour passer une très bon de lecture, un très très bon moment. Les personnages sont attachants, que ce soit François ou Paul, Karine Giebel sait donner une âme à ses personnages. L’intrigue est très prenante, le suspense est bien présent, tout comme l’émotion.

Coup de coeur livresque !

Miniaturiste – Jessie Burton

éditions Folio
489 pages

Quatrième de couverture
Nella Oortman n’a que dix-huit ans ce jour d’automne 1686 où elle quitte son village pour rejoindre à Amsterdam son mari, Johannes Brandt. Homme d’âge mûr, riche marchand, il vit dans une opulente demeure entouré de ses serviteurs et de sa sœur, Marin, une femme restée célibataire qui accueille Nella avec une extrême froideur. Johannes offre à son épouse une maison de poupée représentant leur propre intérieur, que la jeune fille entreprend d’animer grâce aux talents d’un miniaturiste. Les fascinantes créations de l’artisan permettent à Nella de mettre peu à peu au jour de dangereux secrets¿ S’inspirant d’une maison de poupée exposée au Rijksmuseum d’Amsterdam, Jessie Burton livre ici un premier roman haletant, et dessine le portrait d’une femme résolument moderne, déterminée à affirmer son existence dans un monde hostile, où la rigueur morale le dispute à l’intransigeance religieuse.

Mon avis

Ce livre a été un coup de coeur. J’avais très envie de le lire, j’en attendais beaucoup et je n’ai pas été déçue. Ce roman est poignant, l’on bascule peu à peu dans la pure tragédie. Excellent.

Métro 2033 – Dmitry Glukhovsky

éditions L’Atalante
653 pages

Quatrième de couverture
Une guerre a décimé la planète. La surface, inha­bitable, est désor­mais livrée à des monstruo­sités mutantes. Moscou est une ville aban­don­née. Les survi­vants se sont réfu­giés dans les pro­fon­deurs du métro­politain, où ils ont tant bien que mal orga­nisé des micro­sociétés de la pénurie.
Dans ce monde réduit à des stations en déli­quescence reliées par des tunnels où rôdent les dan­gers les plus insolites, le jeune Artyom entre­prend une mission qui pour­rait le conduire à sauver les derniers hommes d’une menace obscure. mais aussi à se découvrir lui-même à travers les rencontres improbables qui l’attendent.
Nombre de mythes accompagnent l’univers du métro dans toutes les grandes villes. Dmitry Glukhovsky en fait un thriller fantastique.
Dmitry Glukhovsky est un Journaliste et un romancier russe né le 12 juin 1979 à Moscou. Il a travaillé pour de nombreux journaux en Allemagne, en France et en Israël. Il parle le français, l’espagnol, l’allemand et l’hébreu. Glukhovsky est l’auteur du best-seller Metro 2033 qu’il a d’abord publié sur son site internet et qui a renconté un grand succès. Un jeu vidéo adapté du roman est sortie en Mars 2010. En 2007 il a reçu les « Encouragement Award of the European Science Fiction Society » au prestigieux « Eurocon contest » de Copenhague.

Mon avis

Globalement ce livre a été une bonne lecture. Il faut bien avouer que c’est un livre un peu spécial qui ne plaira pas à tout le monde, pour ma part il m’a plu mais je l’ai trouvé quand même un peu trop long et l’impression de tourner en rond au propre comme au figuré. Ceci dit j’ai l’intention de lire un jour Métro 2034 et Métro 2035

Le cri – Nicolas Beuglet

éditions Pocket
556 pages

Quatrième de couverture
À quelques kilomètres d’Oslo, l’hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l’inspectrice Sarah Geringën pressent d’emblée que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu’il porte sur le front, s’est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…

Mon avis

Une très bonne lecture, une histoire assez angoissante, une bon rythme , un livre que l’on a du mal à poser une fois commencé. C’est addictif et bien écrit. J’ai découvert cet auteur avec Le cri, je pense lire ses autres écrits;

L’institut – Stephen King

éditions Albin Michel
601 pages

Quatrième de couverture
Au coeur de la nuit, à Minneapolis, des intrus pénètrent la maison de Luke Ellis, jeune surdoué de 12 ans, tuent ses parents et le kidnappent.
Luke se réveille à l’Institut, dans une chambre presque semblable à la sienne, sauf qu’elle n’a pas de fenêtre. Dans le couloir, d’autres portes cachent d’autres enfants, dotés comme lui de pouvoirs psychiques.
Que font-ils là ? Qu’attend-on d’eux ? Et pourquoi aucun de ces enfants ne cherche-t-il à s’enfuir ?
Aussi angoissant que Charlie, d’une puissance d’évocation égale à Ça, L’Institut nous entraîne dans un monde totalitaire… qui ressemble étrangement au nôtre. Le nouveau chef-d’oeuvre de Stephen King.

Mon avis

En général je ne suis pas spécialement fan de Stephen King hormis quelques titres, mais là j’avoue avoir beaucoup aimé ! J’ai aimé l’histoire en elle même, les personnages sont attachants (du moins certains), lecture addictive. Un peu trop de détails parfois cependant.

Le piège de la Belle au bois dormant – Mary Higgins Clark et Alafair Burke

éditions Albin Michel
446 pages

Quatrième de couverture
La productrice de Suspicion, l’émission de télé-réalité spécialisée dans la reconstitution de cold cases, s’est laissée convaincre par Casey Carter, tout juste libérée de prison après une peine de quinze ans pour le meurtre de son fiancé, Hunter Raleigh. Si pour la presse et l’opinion publique Casey reste une criminelle, celle-ci continue de clamer son innocence, et Suspicion est sa seule chance de la prouver.
Entre les nombreuses jalousies et rivalités que suscitaient les fiançailles de Casey et Hunter, héritier d’une des plus grandes fortunes américaines, et l’arrivée d’un jeune loup aux dents longues pour remplacer le précédent présentateur de Suspicion, l’enquête et l’émission de Laurie s’annoncent difficiles…

Mon avis

Trouvé dans une boite à livres, je l’ai pris pour le titre ! livre aussitôt lu et presque aussitôt oublié …..

Je ne suis pas seul à être seul-Jean-Louis Fournier

éditions JC Lattès
200 pages


Quatrième de couverture

Le premier souvenir de solitude ? Un petit garçon coiffé en brosse qui réclame sa mère à l’accueil d’un grand magasin.
Plus tard, c’est un enfant de 10 ans qui nage seul dans la mer du nord et qui lorsqu’il se retourne découvre la plage vide : personne ne l’a attendu. Puis c’est la première danse refusée, la première rupture, le premier deuil, mais c’est aussi tous ces moments choisis, voulus, espérés, goutés : seul avec un livre, avec une musique, seul à regarder les autres, seul en écrivant. Jean-Louis Fournier est toujours ce petit garçon, fils unique qui rêvait d’amitiés et d’une grande famille mais qui espérait aussi s’échapper, grandir, rester seul.
Aujourd’hui dans un grand appartement, après la mort de sa femme, de ses amis, de son éditeur, ce désir des autres et ce besoin de solitude sont restés les mêmes et il passe de l’un à l’autre. Avec un mélange de douceur, de tristesse et d’espièglerie, il regarde les fenêtres toujours fermées de ses voisins (des gens seuls comme lui ?), il observe ce monde où les hommes sont ultra connectés et semblent n’avoir jamais été aussi seuls, il attend la visite d’une jeune femme qui l’emmène au musée, qui le distrait, lui apporte sa jeunesse : mais des deux qui est le plus seul ?
Un livre tendre, délicat, mélancolique parfois qui ressemble à une aquarelle de Turner et à un dessin de Sempé.

Mon avis

Une excellente lecture avec un mélange d’humour noir (un soupçon) et de douceur dans les mots. Ce n’est pas le premier roman de Jean-Louis Fournier que je lis et j’aime énormément son écriture et les sujets qu’il aborde. Si vous ne l’avez jamais lu n’hésitez pas à le lire .