Le sort de gaia
Premier tome : la guerre des élus de Romain Godest
Le sort de gaia
Premier tome : la guerre des élus de Romain Godest
Editions J’ai Lu
490 pages
Quatrième de couverture
An 30 de notre ère, 6 jours avant la Pâque juive. Dans une ferme située à proximité de Jérusalem, un homme est sacrifié selon le rituel de l’agneau pascal. Mais sur son front, on peut voir un triangle isocèle, marqué au fer, et à côté du cadavre calciné, une poterie égyptienne.
Ce mort, c’est Jean, l’aîné des sept fils de Judas de Gamala, héritier légitime du trône de David, usurpé par Hérode avec l’appui de Rome.
Soupçonné du crime, Jacques le scribe tente de démasquer par lui-même le meurtrier de son frère. Aidé de sa nièce Sara, il piste l’assassin qui ensanglante la Judée, alors qu’un autre aspirant au titre de roi des Juifs provoque les autorités romaines : Jésus de Nazareth.
De Qumran à Magdala, d’initiation en découvertes, Jacques et Sara vont pourchasser jusqu’au pied de la Croix celui qui se révélera être le premier tueur en série de l’humanité…
Mon avis :
Cette lecture fût excellente! J’ai été captivée par ce roman du début à la fin. L’intrigue est très prenante, certains personnages très attachants et les hypothèses quant au vrai début du christianisme sont évidentes, je dois dire que j’adhère totalement aux propos de l’auteur. Je n’ai pas vu passer ces 490 pages, ce voyage dans le temps et la traque d’un assassin furent passionnants.
L’écriture de l’auteur donne un excellent rythme au roman et les pages défiles à un très bon rythme aussi.
Je ne vois pas de points négatifs dans ce roman, c’est un très bon thriller historique qui mérite d’être lu par tous les lecteurs qui aiment ce genre littéraire.
Sans trop en dire ce roman c’est un soupçon d’histoire familiale, de jalousie, de complots, de révoltes, de religion, de manipulation des foules, d’histoire d’amour…je crois que je n’ai rien oublié !!
« Le livre du mal » est à lire absolument, ce serait dommage de passer à côté d’un livre aussi génial et captivant !
Le site officiel de Frédéric Mars http://www.fredericmars.com/accueil.htm
Editions Le Livre de Poche
222 pages
Quatrième de couverture
New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu’une seule personne : Daisy Buchanan. Elle est élégante, riche, séduisante, mais elle est la femme d’un héritier millionnaire… Avec ce texte devenu un classique, Fitzgerald, sur un air de jazz et une coupe de champagne à la main, met à nu le Rêve américain et écrit l’un des plus beaux romans du XXe siècle, ici présenté dans la traduction de référence, par Jacques Tournier.
Mon avis :
Cette lecture est une belle surprise. Cela fait des années que je repousse la lecture de ce classique et le fait qu’un film soit fait, un remake, avec Léonardo Dicaprio n’y est pas pour rien dans ma raison de vouloir enfin le lire.
Je l’ai lu rapidement après mon achat grâce à la lecture commune organisée par Flo (son blog http://tousleslivres.canalblog.com/ ) sur Livraddic.
Donc une très bonne lecture, un voyage dans le New-York des années folles et un personnage principal, Jay Gatsby très attachant, touchant. J’ai apprécié l’histoire, les personnages et l’écriture de l’auteur.
A lire et pour 2.80 euros ça serait dommage de sans passer !!!!
Editions Stock
132 pages
Quatrième de couverture.
« J’ai toujours été moyenne en tout. Moyenne en cours, j’ai eu le bac avec la moyenne, j’étais moyenne à la fac, moyenne jolie, moyenne intelligente, moyenne intéressante.
Certains événements m’ont obligée à me dépasser. Depuis je ne peux plus n’être que moyenne.
Laurence Kiberlain est illustratrice. Avec Moyenne elle signe son premier récit.
Mon avis :
J’ai acheté ce livre après en avoir entendu parler à la télévision deux ou trois fois. Le parcours de l’auteur m’a intéressé ainsi que son ressenti à ce sentir moyenne. Mais les enfants quels qu’ils soient, bien portant ou pas, son là pour nous faire avancer, aller de l’avant. On a pas le droit de se laisser aller, de baisser les bras. Ils nous donnent quoi qu’il se passe une énergie monstre.
Ce livre est un très beau récit. J’ai beaucoup été touché par cette femme, son « histoire » et son écriture. Elle nous fait partager ses émotions, ses espoirs et désespoirs. Ce livre pourrait être triste mais en fait il apporte beaucoup d’optimisme et de joie de vivre.
J’ai apprécié également les illustrations de l’auteur qui jalonne ce livre. Son site http://laurencekiberlain.net/
Un coup de coeur que je vous conseille vivement de lire.
éditions Folio
212 pages
Quatrième de couverture
» Il me revint en tête – par quel procédé mental inconscient -, une phrase qui fit retourner ma mémoire de dix ans en arrière.
Elle flotta imprécise en mon esprit pendant un moment, puis je revis un titre en lettres rouges : Le Docteur Moreau, sur la couverture chamois d’une brochure révélant des expériences qui vous donnaient, à les lire, la chair de poule. Ensuite mes souvenirs se précisèrent, et cette brochure depuis longtemps oubliée me revint en mémoire, avec une surprenante netteté. J’étais encore bien jeune à cette époque, et Moreau devait avoir au moins la cinquantaine.
C’était un physiologiste fameux et de première force, bien connu dans les cercles scientifiques pour son extraordinaire imagination et la brutale franchise avec laquelle il exposait ses opinions. »
Mon avis :
Il s’agit là pour moi d’une relecture que j’ai faite à la suite de ma lecture de « L’étrange cas de Juliette M. » qui est en fait une réécriture de « L’île du docteur Moreau » de H.G. Wells.
Bonne lecture en général à mi chemin entre la science fiction et le fantastique. A lire absolument après « Juliette M » mon avis ici.
Personnellement j’ai largement préféré « La guerre des mondes ».
éditions Pascal Galodé
110 pages
Merci à Pascal Galodé éditeurs http://pascalgalodeediteurs.com/index.php
Quatrième de couverture (source Pascal Galodé editeurs)
Léon-Joseph Massoulat, après sa mort, arrive en enfer. Il découvre d’étranges lieux, en trompe-l’oeil, des décors de théâtre sur plusieurs niveaux, formés de toutes les représentations imaginaires que l’humanité s’est forgée sur l’outre-tombe.
Mais ce Léon-Joseph, de son vivant redoutable syndicaliste, pose la question la plus saugrenue : cet enfer est-il aux normes de sécurité, et d’accès facile aux personnes à mobilité réduite ? Ce problème sème le désordre dans l’au-delà.
Du portier Sabnac au puissant Baalbérith, du brigadier Cattiminus à l’huissier Tutivillus, de la taverne de Kobal au réseau Facebouc, on discute ferme, à coups d’arguments théologiques et de rappels au code de la construction.
D’autant plus que l’Apocalypse semble imminente, et que Dieu lui-même s’en mêle : n’est-il pas temps de laisser aux hommes la gestion de leur monde ?
Cette fable, aux allures de farce drolatique, savante mais burlesque, prend peu à peu la dimension d’un suspense métaphysique, et surtout du drame intime d’un humain confronté à son passé, à sa responsabilité devant l’univers.
L’auteur :
Né à Liège en 1956, philologue de formation (Université de Liège, 1978), Jean Claude Bologne est fixé à Paris depuis 1982. Il a été pendant douze ans critique littéraire, et se consacre essentiellement à l’écriture. Depuis 1986, il a publié une trentaine de livres : romans (La faute des femmes, le Frère à la bague, L’ange des larmes…), essais (Histoire de la Pudeur, Histoire de la conquête amoureuse, Pudeurs féminines… ), dictionnaires d’allusions… Il enseigne l’iconologie médiévale à l’ICART (Paris) et est président de la Société des Gens de Lettres depuis 2010. Il participe aux activités de la Nouvelle Fiction, de l’Atelier imaginaire, de l’atelier d’écriture du PJE (Prix du Jeune Ecrivain).
Mon avis : Tout d’abord je souhaite remercier Pascal Galodé Editeurs pour ce service presse mais je n’ai absolument pas adhéré à ce livre, je me suis ennuyée. Alors plutôt que de « descendre » le livre parce qu’il n’est pas à mon goût je vous mets le lien d’une critique très complète http://www.lacauselitteraire.fr/ferme-pour-cause-d-apocalypse-jean-claude-bologne
C’est avec une grande tristesse que j’ai appris la mort de Gaétan Soucy http://blogue.editionsboreal.qc.ca/blog/blog/categorie/communiques/ . J’ai lu et relu qu’un seul livre de lui « La petite fille qui aimait trop les allumettes », ce livre est excellent, tellement excellent que jusqu’à maintenant je n’ai pas osé lire autre chose de peur d’être déçue.
Cryssilda a organisé un LC pour le 09 août en hommage à ce grand auteur. Je vais relire « La petite fille qui aimait trop les allumettes » et je viens d’acheter « L’immaculée conception » que je vais lire également pour le 09/08.
Voici le lien de l’événement sur facebook https://www.facebook.com/#!/events/119992401504625/
Le blog de Cryssilda http://cryssilda.canalblog.com/archives/2013/07/10/27615319.html organisatrice de la LC
éditions Milan – Macadam
438 pages
traducteur : Marie Cambolieu
Quatrième de couverture
Londres 1895
Juliette Moreau n’est plus rien. Sa vie a basculé le jour où son père, le plus éminent chirurgien de Londres, a été accusé d’ignobles pratiques médicales. Est-il mort ? En fuite ? Nul ne le sait. Une chose est sure : Juliette doit maintenant se débrouiller seule pour survivre. Et tenter de répondre à cette terrible question qui l’obsède : qui est vraiment mon père ? Un fou ou un génie ?
Un thriller noir et gothique à l’intrigue haletante !
Mon avis :
Malgré mon billet qui ne sera pas ultra positif je souhaite remercier Livraddict et les éditions Macadam.
La couverture de ce livre est superbe et donne très envie de lire se livre, le résumé de quatrième de couverture dit juste ce qu’il faut.
Ensuite, je dirais que pour ceux et celles qui ne connaissent pas « l’île du docteur Moreau » de H.G. Wells l’histoire peut paraître très originale et que l’auteur a une imagination débordante.
Mais en ce qui me concerne j’ai déjà lu le roman de H.G. Wells et « l’étrange cas de Juliette M. » est je dois malheureusement le dire un copier/coller !
L’auteur Megan Shepherd a rajouté un personnage, Juliette, la fille de Moreau. J’ai beaucoup aimé tout début du livre qui nous plonge dans une ambiance bien particulière, par contre le passage de vivisection du lapin m’a franchement horrifié !
Dans les premières pages du livre lecteur est immergé dans le Londres de 1895 et ce voyage dans le passé est très réussi par l’auteur.
Megan Shepherd met plus l’accent sur le fait que Moreau pratique la vivisection que Wells, ce qui rend ce Moreau encore plus monstrueux !
Par curiosité j’ai relu « l’île du Docteur Moreau » juste après « l’étrange cas de Juliette M. » parce que oui l’envie de comparer point par point ou presque était bien là !
Et au final, même si ça peut paraître anormal j’ai une préférence pour le Shepherd, mais juste une petite préférence, parce que l’original reste quand même la base du livre avec Juliette.
Je regrette par contre beaucoup que l’auteur n’ait pas cité au moins à la fin du roman le livre de H.HG Wells parce qu’au final elle a juste « brodé » autour.
Donc je vous conseillerais vraiment de lire « l’étrange cas de Juliette M. » et ensuite de lire « L’île du Docteur Moreau » de H.G. Wells. Le premier étant un bon complément au second !
Je ne sais pas quand va paraître le tome 2 mais je vais certainement le lire !
éditions MA éditions – Pôle Noir
415 pages
traducteur : Véronique Gourdon
Un grand merci à Gilles Paris pour ce partenariat
Quatrième de couverture
Mon avis :
J’ai choisi ce livre pour le titre et la couverture pour lire un thriller qui ferait bien peur. Et bien je n’ai pas été déçue mais je m’attendais quand même à pire !
Ce roman a un très bon rythme qui permet de tenir le lecteur en haleine, les personnages sont bien campés.
Alex Raker est attachant et touchant pas son vécu personnel. Il n’a plus rien à perdre, il va aller jusqu’au bout de son enquête.
Dans ce roman j’ai apprécié que l’auteur donne une vie personnelle au personnage principale, Alex, et que justement ce vécu lui donne la force et le courage d’aller au fond des choses.
Et du courage il va lui en falloir parce que pour parler vulgairement, il va tomber sur une bande de « frapadingue ». Surtout l’un deux, même pas un psychopathe mais pire que ça !
Bref un bon thriller qui fait partie d’une trilogie avec le même personnage principale, Alex Raker, qui donne envie de lire les tomes suivants.
Par contre il faut mieux que les âmes sensibles s’abstiennent de lire ce thriller qui a des passages assez horrible niveau cruauté envers certains !